Le journal des Glénants
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
fh,
couplus,
vacances,
plage,
amour,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
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initiatiq,
... notre vagin, c’est là que nous jouissons le plus. Alors pourquoi aller chercher ailleurs ? En auras-tu plus de plaisir ?— Certainement, Flavie, comme la plupart des hommes. Il serait trop complexe de t’expliquer pourquoi mais c’est vrai !— Et puis j’ai peur que tu me fasses mal, je ne désire pas vraiment cette pénétration malgré le besoin que j’ai de toi, dans moi.— Tu vois ! Je voulais t’expliquer qu’une première sodomie, cela se prépare. On y pense, on la redoute, on l’imagine, on croit que cela est impossible : ce sexe est si gros, si long et je suis si étroite ! On sent qu’on l’acceptera, par curiosité, pour le plaisir que ressentira son amant et, finalement on la désire. Je ne te ferai pas mal, je n’ai jamais fait mal ni à une fille, ni à un garçon. Tu seras la seule fille que je ne prendrai que par derrière.— Aurais-je du plaisir ? Ou seras-tu le seul à en ressentir ?— Cela prend toujours un peu de temps pour jouir par l’anus. Mais l’amoureuse que tu es apprendra vite et, tu verras, l’orgasme anal est long à monter mais il t’envahit tout entier et te laisse pantelante et c’est à cela que je veux arriver avec toi. Le lendemain pendant notre repas au restaurant, Flavie, les yeux brillants, m’a parlé de sa nuit. J’ai ressenti un choc violent fait d’inquiétude, de jalousie et de plaisir. Un mélange détonnant : avions-nous été trop loin ? Je cherchais à voir ce qui avait changé en elle. Décidément non, elle était toujours aussi merveilleusement jolie et spontanée. À cet ...
... instant j’aurais voulu, moi-même, être le premier mais, à ma question elle a répondu qu’elle préférait laisser Pierre lui faire découvrir la sodomie. J’en pris mon parti, paradoxalement heureux. Je ne serai donc pas le premier, comme pour sa bouche ! Par contre elle ne m’avait pas parlé de la volonté de Pierre de la pénétrer de toute sa longueur dans sa gorge, je le découvre en lisant son « journal ». Huit jours ! Pierre a attendu huit jours avant de me sodomiser. J’avais pris goût à le faire jouir dans ma bouche tandis qu’il m’en parlait. Il trouvait que c’était une bonne solution pour préparer son sexe à glisser dans mon anus. Il me faisait jouir en caressant mes seins qui le fascinaient. Puis un jour nous avions passé l’après-midi dans une petite crique très difficile d’accès où nous avions abordé tous deux avec un dériveur. Nous avons nagé longtemps et plongé. L’apnée, cela me connaissait et j’étais plus endurante que lui. Comme je faisais ma maligne à ce sujet, il m’a attrapée par derrière et ceinturée en posant ses mains sur mes seins nus. — Répète cela, pour voir, m’a-t-il dit gentiment. J’ai renversé ma tête en arrière sur son épaule et je lui ai redit que, finalement, j’avais plus de souffle que lui. Il a pris un air admiratif pour me confier : — Mais c’est très bon, ainsi lorsque mon sexe passera ta gorge, les premières inévitables paniques passées, je pourrai rester assez longtemps dans toi, le temps d’éjaculer longuement sans que tu aies besoin de respirer. Plus ...