Le journal des Glénants
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
fh,
couplus,
vacances,
plage,
amour,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
journal,
initiatiq,
... longtemps certainement que je ne suis jamais resté dans la gorge d’une autre fille ! Jusque là, il n’avait pas essayé d’aller plus loin dans ma gorge, ce que je redoutais beaucoup plus que la sodomie, mais je sentais qu’il faudrait que j’y passe bientôt. — Est-ce que j’y trouverai du plaisir ? lui ai-je demandé, comme je l’avais fait pour la sodomie. Et il m’a répondu d’un air docte : — Certainement pas, sauf à imaginer tout le plaisir que tu seras ainsi capable de me donner. Car moi, j’en aurai, du plaisir ! Sur le ton de la plaisanterie qui cachait mon angoisse, j’ai rétorqué qu’il appuyait la thèse de certains experts disant que le cerveau est le plus important organe sexuel. Et il a acquiescé avec énergie. En fait j’aimais ses défis même si j’avais très peur. Avec moi, il ne pensait qu’au sexe, c’était terriblement excitant. Il n’était pas question d’amour, ce qui me tranquillisait. Après ces joutes, nous avons sorti du dériveur deux grosses couvertures, des coussins et un pique-nique que nous avons dévoré à belles dents. J’étais toute alanguie. Il a installé une couverture près d’un rocher, s’est assis le dos contre un coussin et m’a demandé de venir m’allonger face à lui sur le dos. Tout en évoquant mille sujets, il a enlevé le bas de mon maillot de bain et le sien. Comme chaque fois qu’il se dénudait, son sexe était érigé prenant un air agressif impressionnant. D’un air enjoué, il s’est écrié : — Je n’ai jamais autant bandé qu’avec toi. Tu vois : mes yeux sur toi, et ...
... je jouis presque, tu as bien raison. Se penchant sur mon sexe qu’il a ouvert avec ses deux mains il a poursuivi : — Toi, si tu n’avais pas un sexe de femme, on jurerait que tu es un garçon, à voir le reste de ton corps on s’y tromperait. Ton sexe n’est pas vierge, n’est-ce pas ? Combien as-tu eu d’amants ? Pourquoi ne pas lui dire la vérité ! — Un seul, Marc.— Et vous vous êtes quittés ?— Non, pas vraiment, simplement nous ne faisons plus l’amour c’est tout. Ce n’était vrai que depuis notre arrivée aux Glénants mais passons. J’avais tout de même droit à mon jardin secret. — Et cela ne te manque pas ? J’ai plein de copains qui seraient heureux de te faire l’amour comme à une fille.— Non, Pierre, j’adore les sorties en mer, le courses sur la plage, les regards de tes copains sur mes seins, l’amour qu’il me font en pensée et, surtout, ta prise de possession de mon corps. Cela me suffit. Pas question de parler d’amour avec cet obsédé du sexe et surtout pas de l’amour étrange de Marc et Flavie. Il m’a tirée vers lui puis m’a caressée longuement sur tout le corps. Il m’a expliqué que c’est dans cette position qu’il me sodomisera. — Car, ainsi, a-t-il poursuivi en riant, je verrai ton visage, tes yeux, tes seins dressés, ton sexe, tes genoux, ton ventre, ton bassin, et je pourrai suivre sur ton corps les méfaits ou les bienfaits de ma pénétration. Ce n’est pas une position qui me permettra d’aller très loin dedans toi mais ce n’est pas cela l’important ! Ce sera pour une autre fois. ...