La tentation était trop forte (1)
Datte: 27/05/2021,
Catégories:
Hétéro
... dans ma tête, et je songe une nouvelle fois à ma fille et à mon mari. Mais qu’est-ce que je suis en train de faire ? Je sais que le mal est fait, que rien de ce que je pourrais faire maintenant ne le réparerait, mais j’ai besoin d’y réfléchir un moment. — Je vais prendre une petite douche si ça ne t’ennuie pas, lui dis-je avec douceur. — Pas de problème, acquiesce-t-il. C’est… l’autre porte. Effectivement son petit appartement d’étudiant ne comporte pas 50 pièces, j’ai donc à priori peu de chances de m’y perdre. Je me hâte donc de rallier la douche, sous laquelle je me jette avec délectation. La morsure de l’eau bien chaude me fait un bien fou, et elle m’aide à classifier un peu le flot de mes pensées. J’ai tellement peur et honte en ce moment que j’aurais envie de hurler. Mais qu’ai-je fais ? Je viens de coucher avec un jeune inconnu, de la moitié de mon âge, alors que je suis attendu le lendemain – non, dans quelques heures maintenant – pour un repas de famille ! En plus nous sommes tous les deux en couple, même si ça n’a bien sûr pas la même implication à vingt ans qu’à quarante. Mais tout de même, qu’est-ce que je penserais du petit ami de ma fille s’il couchait avec une femme de mon âge ? Je n’aurais qu’à le cacher, ne rien dire ni ne rien changer de mes habitudes. Garder le secret, le garder jusqu’à l’oublier. Guillaume entre à ce moment dans la pièce, encore nu et le sexe déjà bien dressé, ce qui me fait un peu perdre le fil. — Qu’est-ce que tu veux ? — Oh Cat’, j’ai ...
... encore envie de vous, me dit-il en entrant dans la douche avec moi. — Mais… Guillaume on ne va pas… Il m’interrompt en plaquant ses lèvres contre les miennes. Je veux le repousser pour au moins prendre le temps de réfléchir, mais ce baiser m’en empêche. S’il avait été un sale con, j’aurais au moins pu m’en sortir par une pirouette en me mentant ensuite à moi-même pour me faire croire que je ne le souhaitais pas. Mais le fourbe s’arrête alors et, son sexe tout contre le mien, déjà pourvu d’un préservatif, il me demande juste avant la pénétration : — Tu ne veux pas ? L’inquiétude est palpable dans sa voix, je sais bien qu’il ne me forcera pas si tel n’est pas ma volonté, malgré l’intensité de son désir. Et c’est ce qui me fait fondre : — Oh si, prends-moi ! Et voilà, sa délicatesse et sa prévention m’ont forcé à le réclamer, ce qui m’interdira toute mauvaise foi future. Quel petit con ! Il me pénètre alors d’un coup sec, oubliant visiblement tout ce que je viens de lui apprendre, mais sur le moment c’est ce qui me plait. Il me besogne ensuite de la même manière, presque rageusement. A mon propre étonnement, j’aime beaucoup. — Cat’… oh Cat’… ne cesse-t-il de répéter. Il ne cesse de malaxer mes nichons tout en me faisant l’amour, je vois qu’il aime beaucoup. Mais comme j’apprécie aussi énormément, je ne m’en plains pas ! Je prends vraiment beaucoup de plaisir à me faire baiser contre le mur, aussi est-ce avec une nouvelle vague de frustration que je l’entends bientôt s’exclamer : ...