Marion ; une veuve, une maman (8)
Datte: 07/11/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
Quand sa mère lui proposa d’ôter son manteau, Marion se recroquevilla, avant de s’élancer dans les escaliers, ses valises à la main. — Je monte me changer... Je n’en ai pas pour longtemps... Elle s’enferma dans sa chambre, rassurée de se retrouver dans un environnement familier. La pièce avait conservé le même aspect que quand elle l’occupait jeune fille. Elle enleva son manteau – son bouclier –, se regarda dans le miroir de l’armoire où, adolescente, elle s’était si souvent observée et jugée. Elle ne se reconnut pas, fascinée malgré elle par l’image qu’elle renvoyait. Il n’y avait rien à dire, le constat était accablant. Elle avait l’apparence et l’allure d’une putain ; une pute de luxe, certes, mais une putain tout de même. Le comportement de son fils n’avait rien d’étonnant : elle exsudait le sexe par tous les pores. Elle s’assit au pied du lit. Comme elle n’avait pas de culotte – il la lui avait arrachée dans l’auto - elle aperçut sa chatte dans le reflet de la glace. Ce petit animal, tapi entre leurs cuisses, était responsable de tant de larmes et de drames. Les hommes étaient prêts à tous les débordements pour s’approprier la chair interdite de la femme. Elle se trouva soudain ridicule, à scruter son intimité. Elle n’avait pas fait ce long trajet pour s’extasier béatement devant son propre sexe, comme s’il s’agissait d’un calice sacré propre à faire se damner tous les hommes sur terre. Tous ? Elle exagérait. Mais elle en connaissait au moins un... Ils étaient ...
... installés dans l’immense salon, où un grand feu de cheminée crépitait, quand Marion arriva. Elle s’était habillée pour la circonstance ; un bas de survêtement, un long pull difforme, et des charentaises aux pieds. Elle se lova dans le canapé, prit part à la conversation, sa bonne humeur retrouvée. Mathieu l’observait d’un air amusé. Il trouvait qu’elle en faisait vraiment des tonnes dans le genre fifille à ses parents. Les retrouvailles s’éternisaient. Mathieu était jaloux des apartés de sa mère. Il ne voulait pas la partager, il la voulait pour lui seul. Une fois le repas terminé, Marion déclara que le voyage l’avait épuisée, s’excusa, et partit se coucher. Mathieu prit le café avec ses grands-parents, sortit fumer dans le jardin ; il n’était pas accro au tabac - sa seule addiction s’était retirée dans sa chambre – et comme il faisait froid, il écrasa sa cigarette et rentra. Lorsqu’il regagna sa chambre, il ne trouva pas sa valise ; il se souvint que sa mère l’avait montée à l’étage dans sa précipitation, quand ils étaient arrivés. Il avait un alibi en béton, mais il craignait sa réaction. Elle n’avait pourtant aucune raison d’être inquiète, personne ne pouvait soupçonner ce qui se passait entre eux. Il entra sans frapper. Elle était en train de se brosser les dents, dans la petite salle de bain attenante à sa chambre. Tout à ses ablutions, elle ne l’entendit pas arriver. Elle lui tournait le dos, délicieusement indécente dans son déshabillé. Il admira la taille fine, les hanches ...