1. Marion ; une veuve, une maman (8)


    Datte: 07/11/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... décolleté. Marion n’était pas insensible à cet incessant ballet. Elle le repoussait, lui demandait de se calmer, mais la frénésie de son fils la flattait. Une fois, ils faillirent être démasqués. C’était l’après-midi. Ils étaient sur le canapé, devant la télé, et ils se pelotaient, s’embrassaient. Ils ne virent approcher la vieille dame qu’au dernier moment. Mathieu eut juste le temps de retirer sa main de la culotte de sa mère, mais ils étaient encore étroitement enlacés quand elle les surprit. — Alors les amoureux, vous vous êtes rabibochés ? Ça fait plaisir de vous voir comme ça... plutôt qu’à vous chamailler tout le temps. Ils se séparèrent brusquement, mais il n’y avait pas de danger. En effet, quoi de plus naturel, pour une grand-mère, qu’un fils et sa mère se témoignent de l’affection ? Il n’y avait aucun mal à ça ! Après cette fausse alerte, ils se montrèrent plus prudents, mais Mathieu n’en demeurait pas moins entreprenant. Il était en perpétuelle érection, et quand Marion avait pitié de sa frustration, elle l’entrainait, s’isolait avec lui pour le masturber, et parfois même le sucer. Elle acceptait tout, sinon qu’il la baise. Ce n’était pourtant pas faute d’insister... Un matin, Mathieu profita de l’absence de ses grands-parents pour aller la retrouver. Elle flemmardait dans son lit, l’accueillit vertement. — Qu’est-ce que tu fais là, toi... Où sont tes grands-parents ? — Ils sont sortis, maman. — Et alors ! Qu’est-ce que tu veux, encore ? — On pourrait en profiter ...
    ... pour faire un câlin ! — Tu ne perds pas le nord, hein ? Allez viens... Fou de joie, il se déshabilla, se précipita dans le lit. Sa mère était chaude comme une caille. L’étreinte fusionnelle, le furieux baiser qu’ils échangèrent, le corps à corps canaille... il ne put se retenir. — Ben dis-donc, déjà ? Mathieu se sentit humilié, mais il resta dans ses bras, dans sa chaleur et son odeur, et ne tarda pas à retrouver toute sa vigueur. — Oh là là mon chéri, comment tu fais... tu as encore envie, s’étonna Marion. A dix-huit ans, un garçon en bonne santé est au zénith de sa puissance sexuelle. Il peut bander à la demande, surtout quand sa partenaire de débauche n’est autre que son plus grand fantasme – en l’occurrence, sa mère. Il chercha ses lèvres, enfonça la langue dans sa bouche pour toute réponse... Ramassée entre les cuisses de son fils, Marion lui suçait la queue. — Ça vient, maman... ne t’arrête pas... Oui, vas-y, continue... Oh maman, si tu savais comme j’ai envie de te baiser, se lâcha-t-il en envoyant sa deuxième éjaculation de la journée dans la bouche accueillante. Elle leva vers lui des yeux écarquillés, le regarda les sourcils froncés. — Sérieusement, Mathieu ? Tu t’imagines que tu vas me décider en me parlant vulgairement ? Tu regardes trop de pornos, mon pauvre chéri. — Mais non maman... je pensais au connard qui était avec toi, le jour où je vous ai surpris... j’ai envie de faire la même chose que lui. — Mais enfin, qu’est-ce qui te prend de me parler de lui ? — Je ...