Marion ; une veuve, une maman (8)
Datte: 07/11/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... suis jaloux, voilà ! Tu le fais avec lui et pas avec moi...tu l’aimes plus que moi ! — Je ne l’aime pas, Mathieu, c’est fini... et ce n’était que du sexe. — Il y a du sexe entre nous aussi... ça veut dire que tu ne m’aimes plus ? — Mais bien sûr que je t’aime, idiot... je n’ai pas envie de parler pas de ces choses-là... ça me dérange... j’ai honte. — Tu n’as pas à avoir honte, maman... c’est moi qui l’ai voulu. — Je sais bien... mais je suis ta mère... c’est immoral. — C’est pour ça que tu ne veux pas faire l’amour avec moi ? Marion poussa un soupir excédé. — Tu n’es pas à plaindre que je sache ! Tu crois que les mères de tes copains sont aussi gentilles que moi ? qztqhhmg — Justement maman, viens ici, allonge-toi... je vais te sucer moi aussi... comme dans la voiture...chacun son tour... — Oh, Mathieu ! Qu’est-ce que je viens de dire ? Je t’interdis de me parler comme ça. Elle était à fleur de peau, le traita de fils indigne, mais fit ce qu’il lui demandait. Il se laissa glisser, s’installa entre ses cuisses. Sa vulve était fascinante. Il n’en avait jamais regardée une d’aussi près, et il l’étudia avec une attention passionnée. Il n’avait, du sexe féminin, que l’image imposée par les diktats de la pornographie, une représentation standardisée. La chatte de sa mère était autrement plus troublante. Elle foisonnait de poils, et ses gros seins ne pointaient pas vers le ciel, ils s’affaissaient quand elle était allongée. C’était une vraie femme, pas une poupée glabre et ...
... siliconée. Elle n’avait rien à voir avec les mannequins anorexiques, ou avec les stars du X dépressives et suicidaires. Elle n’était pas une de ces pitoyables créatures calibrées, interchangeables à volonté ; elle était réelle, elle existait. Quand il introduit sa langue dans la fente, elle gémit, s’agita, souleva le bassin, alors il la dévora... Noël arriva. Ils passèrent la journée à s’affairer. Ils dressèrent la table dans l’immense salle à manger, préparèrent le repas du réveillon. — Ecoute, ma chérie, je dois te dire quelque chose. — Qu’est-ce qu’il y a, maman, c’est grave ? — Non ! Bien sûr que non, mais je suis contrariée. Marion avait toujours détesté cette façon qu’avait sa mère de tourner autour du pot, avant de cracher le morceau. — Je t’écoute, maman. — Tu te souviens de Marc ? — Marc, mon cousin ? Oui, bien sûr. — Figure-toi qu’il s’est invité au dernier moment. — Et alors ? — Il veut dormir ici ! Tu te rends compte ce culot ? — Voyons, maman, un invité de plus ou de moins, tu parles d’une affaire ! — Tu ne comprends pas. Je n’ai plus une seule chambre de libre. — Mais qu’est-ce que tu veux que j’y fasse, en quoi ça me concerne ? — Je suis obligée de lui donner la chambre de Mathieu... et de faire dormir ton fils dans la tienne. — Vraiment ! On ne peut pas faire autrement ? — Voyons, Marion, je ne t’impose pas la présence d’un homme ! Je parle de Mathieu ! — J’ai compris, maman, mais ça me dérange un peu. — Qu’est-ce que tu es devenue vieille fille, ma parole ! Vous avez ...