1. Marion ; une veuve, une maman (8)


    Datte: 07/11/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... prononcées, les fesses cambrées. Il ne s’en lassait pas. Elle devina sa présence, se retourna ; ses gros seins, la tache sombre du pubis, l’air ébahi qu’elle prit... — Oh maman, qu’est-ce que tu es belle... comme tu es bandante, s’extasia-t-il, pétrifié devant tant de féminité. — Qu’est-ce que tu fais là, Mathieu ? Sors d’ici tout de suite, lui ordonne-t-elle, en désignant la porte d’un doigt tendu, avec l’attitude d’une maitresse d’école déterminée qui renvoie de sa classe un élève turbulent. Il ne se laissa pas impressionner par son autorité d’enseignante, vint à sa rencontre, la prit par la taille. Il l’attira, lui empoigna le cul, les doigts enfoncés dans la chair tendre des fesses. — J’aime tellement te toucher, maman... Je ne peux plus m’en passer... — Sois raisonnable, mon chéri... Et tes grands-parents alors, tu y as pensé ? — Ils sont en bas... ils ne se doutent de rien. Elle le repoussa, le supplia, puis se fit une raison ; elle n’arriverait jamais à s’en débarrasser. Résignée, elle se laissa tomber à genoux. — J’espère que tu me laisseras tranquille, après... — Oui maman, c’est promis... mais fais vite, vite... Dépêche-toi, j’en peux plus... Elle le prit dans sa bouche, et il s’enfonça tout de suite au fond de sa gorge, en la maintenant par la nuque. Elle hoqueta, suffoqua, agita ses bras de manière désordonnée. Il lui pilonna la bouche, s’en servit comme d’un vagin. Ses gros nichons, qui ballotaient lourdement sur son torse, finirent de le rendre fou. Fort ...
    ... heureusement pour Marion, il était si excité que son calvaire ne dura pas longtemps ; il éjacula immédiatement. Incapable de reprendre son souffle, elle resta prostrée sur le sol, des larmes plein les yeux, faisant refluer sa salive et le sperme qui l’étouffaient. Les couilles vidées, rassasié, Mathieu prit conscience de son geste. Dans le feu de l’action, il n’en avait pas mesuré la portée, et il découvrait, horrifié, ce qu’il venait de lui faire subir. — Ça va, Maman ? Elle leva vers lui son visage ravagé. — Non, ça ne va pas... ça ne va pas du tout... Qu’est-ce qui t’a pris de faire ça ? — Je ne sais pas... — Tu me prends pour qui ? Je suis ta mère, Mathieu... Je ne suis pas un jouet ! — Je suis désolé... — Je suis une femme, pas une poupée... et une femme, ça se respecte ! — Je t’ai demandé pardon, maman... Je ne sais pas quoi dire d’autre... — Tu dois apprendre à te contrôler, bon sang ! Tu ne peux pas me sauter dessus chaque fois que tu as besoin d’assouvir tes bas instincts... Je ne suis pas à ta disposition... Tu as compris ? — Oui maman... je ne le ferais plus, c’est promis... — Bien ! Je préfère ça ! Allez, file dans ta chambre maintenant... Pourtant, dès le lendemain, Mathieu recommença à la harceler. Il n’avait plus l’intention de la brutaliser, il avait compris la leçon, mais ça ne l’empêchait pas de la toucher à la première occasion. Il aimait par dessus tout lui caresser les seins, la chatte et le cul. Il était sans arrêt à lui fourrer les mains sous sa robe, dans son ...