1. En passant par la Lorraine


    Datte: 01/06/2021, Catégories: fh, fhhh, couleurs, inconnu, uniforme, vacances, train, toilettes, fsoumise, Oral pénétratio, confession, fhh,

    ... plusieurs reprises de faire cesser les impudiques bavardages de ma fille, mais je me fais gentiment rabrouer par les hommes qui finissent par se moquer de moi en rétorquant : — Comme la maman ne nous parle pas, on cause avec la fille ! À son tour, Camille leur pose des questions directes. J’apprends ainsi, pêle-mêle, que le grand, Henri, a une fille qui a presque son âge, que le marseillais s’appelle Rachid et que l’autre, Kévin, habite près de Toulon. À mon tour, je les observe du coin de l’œil, en évitant de croiser leur regard. Tous trois ont les cheveux rasés courts, des carrures d’athlète, un visage hâlé (probablement par les manœuvres d’entraînement) et une tenue impeccable. Ils respirent la santé et la virilité. Bien qu’ils persistent à me fixer avec des regards qui me dénudent surtout la poitrine et les cuisses, je me détends peu à peu. Je prends cependant garde à tirer régulièrement ma robe sur mes cuisses et à ne pas trop me pencher, car j’ai un décolleté un peu coquin. Les deux plus jeunes rentrent chez eux en permission, et le grand, qui me semble plus gradé, va chez un parent, car il habite près de Metz. Avec un toupet qui m’effare, Camille, qui a déjà appris qu’un d’entre eux est papa, leur demande s’ils vont voir leur fiancée, car elle, elle a « laissé » le sien pendant les vacances. Rachid répond, en me fixant droit dans les yeux : — En quelque sorte ! Ça fait du bien de retrouver unefiancée, comme tu dis, quand on en a pas eue depuis longtemps ! Les ...
    ... fiancées, c’est bien mieux quand on est toujours avec, non ? Nous aussi, comme toi, Camille, on a besoin de bisous, de câlins ! Je pique un fard, j’ai nettement senti que cette répartie m’était destinée, et que les trois hommes m’ont envoyé un message à travers leurs regards. En toute innocence, Camille poursuit son interrogatoire, je finis par connaître, moi aussi, un peu de leur intimité (leurs animaux domestiques, le type de logement qu’ils habitent, leurs sports préférés, les émissions enfantines télévisées qu’ils regardent, etc.). Pendant près d’une heure, à tour de rôle, ils sont soumis aux questions enfantines, et y répondent avec un amusement croissant. Soudain, Léo se réveille et me demande à boire. Je sors la bouteille d’eau et la lui tends. Il la repousse, l’eau est tiède ! Bon, je vais devoir en chercher une au wagon bar, je me lève, et sens immédiatement la main d’Henri, ferme et virile, qui se pose sur mon épaule et m’incite à me rasseoir. — Kevin, va chercher à boire pour les enfants ! Que voulez-vous ?— Du coca, du coca, clament-ils en cœur. Je suis un peu hébétée. Il m’a appelée par mon prénom alors que je le connais depuis à peine une heure, le contact de sa main sur mon épaule en partie dénudée a généré une onde électrique qui m’a traversé tout le corps et il(s) s’occupe(nt) de mes enfants beaucoup mieux que leur père ! J’essaie de maîtriser mon souffle qui agite un peu trop mes seins sous leurs yeux virils. Kevin se lève avec une promptitude toute militaire et se ...
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