Dimanche salé-sucré
Datte: 02/06/2021,
Catégories:
ff,
fépilée,
Oral
init,
... par avance", ou "juste bon pour traîner quand on a ses trucs". La majorité oscillait quand même entre "très bien" et "je m’en lèche les babines", et je remplissai la machine avec une certaine fierté. Encore quelques habits fragiles et je pus mettre la lessive. Nous voilà parties pour presque deux heures de tranquillité. — Alors, lui dis-je abruptement une fois la machine lancée, qu’est-ce qui te rendrait folle de moi ?— Je voudrais que tu devines. Elle s’éloigna un peu et se plaça à côté de la baignoire, debout, en me défiant presque du regard. Elle plaça ses mains dans le dos. Elle était magnifique, détendue, nue, ses seins dirigés vers moi comme s’ils voulaient ma bouche sur eux, ses cuisses légèrement écartées, laissant apparaître… oh ! un si beau trésor, toujours cette beauté physique, ce sexe, cette vulve si attirante, ces velours lorsque ma langue s’y aventure. — J’ai combien d’essais ?— Trois.— Et si je ne trouve pas ?— Alors je ne te demanderai pas ton avis, me dit-elle avec un sourire presque gêné.— C’est pas de la chirurgie esthétique au moins ? Parce que là, il n’y aura même pas de discussion : c’est non !— Non, tu n’en as pas besoin… Tu es superbe, pas de changement physique.— Ni de coiffeur ? J’aime bien ma coupe, continuai-je.— Non plus, et ça fait deux… Plus qu’un seul essai ! Et me disant cela, elle écarta un peu plus ses jambes, lentement. J’étais troublée, fascinée par ce qu’elle recommençait à me dévoiler : ses belles lèvres, charnues, chaudes, parfumées. ...
... — Tu triches ! Je ne peux pas me concentrer ! lui dis-je avec une vraie-fausse vexation.— Au contraire, je t’aide. Et elle me fit un clin d’œil. Je ne comprenais pas. Elle me donnait envie, elle s’ouvrait pour moi, pour mes yeux. J’avais toujours envie de plonger mon visage entre ces jambes, entre ces cuisses tentatrices, sur ce sexe si beau. — Je ne sais pas ; j’aimerais donner ma langue à ton chat. Elle était facile, et Isabelle me fit le plaisir de sourire à ma blague. Elle remit ses bras devant elle, et avec ses deux index et pouces, forma un triangle à travers lequel je pouvais voir son pubis sans poils. Elle s’avança vers moi tout en gardant ses mains dans cette position ; je me retrouvai à ne plus pouvoir dévier mon regard. Je regardai cette fente, ce mont de Vénus, ces lèvres, ces cuisses qui encadraient cette œuvre d’art… Elle s’arrêta à quelques centimètres de moi et me dit doucement : — Si tu te mets à genoux, tu verras ce qui me rendra folle. Je ne comprenais pas encore, mais la position demandée me ferait avoir le visage juste en face de ses mains et de son sexe. Je m’exécutai donc assez rapidement. — En tout cas, je sais ce qui me rend folle, lui dis-je dans un souffle… Retire tes mains s’il te plaît, je veux te voir nue.— C’est aussi ce qui me rendra folle de toi… te voir nue. Je ne comprenais toujours pas. J’étais nue devant elle, et à genoux qui plus est. Elle retira le triangle fait de ses mains et je revis à nouveau son sexe, libre, à portée de mes lèvres, ...