1. Dimanche salé-sucré


    Datte: 02/06/2021, Catégories: ff, fépilée, Oral init,

    ... de mes baisers. Et soudain, le déclic ! — Ohhh… le triangle. Tu veux que je retire le triangle pour que je sois nue aussi ? Tu veux que je m’épile le minou ? Pendant quelques instants je me suis sentie idiote, tant elle avait fait en sorte que je comprenne vite, ou que je voie ce dont elle voulait parler. Et j’étais tellement focalisée sur la beauté de son sexe lisse que je m’étonnai moi-même de ne pas y avoir pensé avant. — Je ne veux pas que tu t’épiles, je voudrais que tu sois VRAIMENT nue. En un sens, ça revient un peu au même, mais ce n’est pas juste pour faire "mode". C’est que lorsque tu retires les poils, surtout la première fois, toute ta peau reçoit les caresses en direct ; plus rien pour atténuer le contact. Les baisers se font à même la peau… et c’est délicieux ! Et puis il y a plus encore. Les parfums ne sont plus les mêmes, les odeurs sont… différentes. C’est plus intime, plus érotique, plus rien n’est caché. Et puis ça me permettra de me rincer l’œil comme tu le fais en me regardant… parce qu’à travers tes poils, je trouve – enfin, je pense – que toi aussi tu peu m’hypnotiser avec ton sexe… et j’en ai très envie. Qu’en dis-tu ? Je ne savais pas très bien comment réagir. Je n’avais jamais osé franchir le cap de l’épilation totale, parce que ça faisait "film porno". Jusqu’à présent, dégager les abords pour que mon petit triangle soit "propre" me suffisait, et suffisait à mes amants précédents. Il faut dire qu’eux se foutaient un peu de savoir ce qu’il y avait ...
    ... derrière les poils ; je pense qu’ils ne voulaient qu’être bien sûrs qu’il y ait de quoi mettre une bite. Leurs petits bisous sur mon sexe, c’était pas de l’amour, c’était pas du sexe : c’était pour que ça glisse mieux quand ils venaient en moi ; en tout cas, c’est la vision que j’en avais ce dimanche, maintenant qu’Isabelle m’avait montré un autre monde, une vraie tendresse, une tout autre douceur. Et finalement, me retrouver comme elle, avec un pubis délivré de sa toison protectrice, une vulve sans poils, lisse, ça me paraissait tentant, presque excitant. — J’en dis que… ça se tente, lui dis-je avec une hésitation très perceptible. Mais… ça va vite ; beaucoup de choses se sont passées. On se connaît depuis quoi… dix jours ; on s’est embrassées hier, on a fait l’amour, j’ai pété un câble, on a refait l’amour… Dès que je te regarde, je dégouline, j’ai envie de toi comme jamais je n’ai eu envie de personne : ça fait beaucoup en très peu de temps. Et… non, je suis d’accord.— C’est comme pour le reste ; on va y aller tout doucement, mais je ne pense pas que tu regretteras : une fois que tu y as goûté, c’est adopté. Et puis, pense à la manière dont tu me regardes… je voudrais pouvoir te rendre cette envie. Elle me regarda avec des yeux amoureux et gourmands en même temps et me tendit le bras pour m’aider à me relever. Elle avança ses lèvres, doucement, et nos bouches se retrouvèrent à nouveau. Elle me caressa sans poser vraiment ses lèvres, faisant de soyeuses caresses. Je sentis son ...
«12...161718...31»