1. Le choc


    Datte: 03/06/2021, Catégories: fh, extracon, fête, fsoumise, Oral pénétratio, fdanus, confession, extraconj,

    ... endroit ; nous étions placés juste en face d’un divan où René était assis, parlant avec un de nos amis communs. Il me regardait et je crus percevoir un mince sourire sur ses lèvres. C’en était trop. — Je veux partir d’ici…— Bonne idée, moi aussi j’en ai marre… Viens, on file à l’anglaise, me dit Suzanne en clignant de l’œil sur un ton approbateur. Elle se dirigeait déjà vers l’ascenseur Je ne pus me résoudre à partir ainsi, et allai dire un rapide bonsoir à Nicole, en prétextant un léger malaise pour mon départ. Nicole se rapprocha de moi et me sembla me prévenir : — Fais attention à toi ! J’ai l’impression que cela ne s’arrêtera pas là. Elle m’enlaça, s’excusa encore et me fit promettre de l’appeler si j’avais trop le blues. Je me dirigeai vers l’ascenseur où Suzanne semblait s’impatienter. Elle ne prononça pas le moindre mot jusqu’à la voiture, semblant pensive. Arrivés devant notre véhicule, elle déclara sur un ton décidé qu’elle conduirait. — Aujourd’hui, c’est moi le commandant de bord… À bord, elle continua son jeu : — Monsieur Armand, bienvenu à bord ; ici votre commandant de bord, Suzanne, qui vous parle. Nous vous prions de décrocher votre ceinture et vous souhaitons un excellent vol. Elle commençait à m’exaspérer avec son petit jeu, et je bouclais ma ceinture. Mais elle reprit. — Je répète, nous vous prions de DÉCROCHER votre ceinture et vous souhaitons un excellent vol… Je compris finalement où elle voulait en venir lorsqu’elle commença à pencher son buste vers ...
    ... mes jambes. — Non, arrête, je n’ai vraiment pas envie.— Tais-toi, et laisse-toi faire… Tu ne vas pas le regretter. Elle s’affairait déjà sur la ceinture de mon pantalon qu’elle ouvrit d’un tour de main; elle me déboutonna avec fébrilité et dégagea immédiatement mon membre semi-érigé. Elle n’hésita pas et le prit dans sa bouche. En me traitant encore une fois de lâche, je n’eus pas la force de lutter et renversai ma tête contre l’appui-tête. Pendant que je me gonflais rapidement en elle, je me pris à penser que ma femme était en train de pratiquer sa deuxième fellation de la soirée en l’espace d’une demi-heure, et ceci sur deux hommes différents. Je sentais sa bouche douce et chaude qui emprisonnait mon sexe et appliquait de méthodiques et affolants va-et-vient. Elle les interrompait parfois pour emprisonner uniquement mon gland entre ces lèvres, en me le suçant de manière intense. J’avais l’impression qu’elle ne s’était jamais occupée de mon membre de cette façon. De plus, et contrairement aux rares fois où elle m’administrait une fellation, je ne sentais absolument pas ses dents racler sur les bords de mon gland érigé. Je me demandais, presque de manière masochiste, si René ne lui avait pas fait une remarque réprobatrice tout à l’heure sur la terrasse. Elle mettait une ardeur particulière à l’ouvrage, comme pour me faire exploser le plus tôt possible, mais j’avais la vague impression que je pouvais ce soir tenir des heures ; j’avais de toute façon tenu bien plus longtemps que ...