1. Le choc


    Datte: 03/06/2021, Catégories: fh, extracon, fête, fsoumise, Oral pénétratio, fdanus, confession, extraconj,

    ... René… Malgré mon plaisir que je sentais monter en moi, l’image de Suzanne en train de se faire méthodiquement ouvrir l’anus par les doigts de René ne me lâchait pourtant pas. À tête reposée, cette image me créait un sentiment étrange. Il y mêlait l’humiliation d’un cocufiage quasiment public à une certaine excitation voyeuriste que j’essayais de repousser dans mon subconscient. Voir un autre homme la soumettre à ses désirs pervers, et surtout constater qu’elle les avait acceptés sans aucune révolte apparente, éveillait paradoxalement en moi un plaisir morbide, coupable et particulièrement abject. J’en voulais dès lors d’autant plus à Suzanne. Je sentis la rage me monter à la tête et commençai à lui parler pour résister à l’idée de la gifler. Mais uniquement des mots obscènes me vinrent aux lèvres. — Alors, t’aime bien sucer… hein ! Je suis sûr que tu mouilles pendant que tu te fais dilater ta bouche… Aaaahhh, tu as une bouche à faire jouir n’importe qui… Je suis sûr que tu te touches en pensant à ça… Te faire dilater de force, et de partout… Ces bribes de phrases, d’une vulgarité dont je ne me croyais pas capable, semblaient se former et jaillir de ma bouche indépendamment de ma volonté. C’était comme si je cherchais à la faire réagir, en lui lançant des messages subliminaux sur ma parfaite connaissance de son escapade sexuelle. Mais elle ne réagit point et semblait même encore plus concentrée sur son ouvrage. Et autre idée me vint. — Décroche tes pantalons que je te caresse ...
    ... les fesses… J’avais dans la tête de reproduire le traitement que René lui avait infligé. Qu’elle m’accorde finalement à moi aussi le privilège d’explorer ses fondements secrets. Mais cette fois-ci elle réagit, se dégageant immédiatement de mon membre : — Ça va, ou bien ? Je te suce et après tu me fais l’amour, mais basta… et si cela ne te va pas, on peut aussi arrêter tout-de-suite… Je me résignai à admettre que je n’avais sûrement pas le même don de persuasion que René. Elle continua sa fellation pour quelques secondes seulement, se redressa, ouvrit sa porte et me dit sur un ton sec, ne tolérant visiblement pas de réplique : — Bon allez, finis-toi ! Fais le tour de la voiture et viens me prendre… de toute façon il n’y a personne à cette heure dans cette ruelle. Résigné, je sortis, fis le tour du véhicule et me dirigeai vers son postérieur offert. Elle s’était déboutonnée et avait légèrement descendu ses pantalons. Je voulus, lui descendre également son slip. — Non, ce soir je le garde… Elle l’écarta légèrement de sa main gauche uniquement au niveau de son vagin. La raison de ce caprice m’était évidente. Elle était très humide et je m’enfilai facilement en elle, me demandant si ses secrétions étaient encore celles provoquées par sa séance avec René. Immédiatement je me mis à la besogner sans retenue la tenant fermement par les hanches. Elle n’était pas insensible à mes efforts, poussant de façon régulière de légers gémissements. Dans la semi-obscurité ambiante, je ne pouvais ...