1. Le choc


    Datte: 03/06/2021, Catégories: fh, extracon, fête, fsoumise, Oral pénétratio, fdanus, confession, extraconj,

    ... ample et blanc. Elle voulut continuer, mais René la stoppa en lui parlant et posant une main sur ses cuisses. Elle s’arrêta, sembla lui répondre quelque chose, lui sourit et se remit à nouveau à genoux en face de lui. Elle n’hésita pas une seconde et se pencha pour l’engloutir à nouveau. René s’était assis maintenant plus vers l’arrière du divan, se tenant ainsi beaucoup plus droit. Pour atteindre son bas-ventre, ma femme avait dû se rapprocher du divan, ce qui par conséquence, et vu sa hauteur, devait offrir à René une vue imprenable sur le bas du dos et le postérieur de ma femme. Il continuait à lui parler. Il avança sa main droite vers le dos de ma femme et fit remonter le T-shirt d’une dizaine de centimètres comme pour mieux admirer son bas du dos dénudé. Puis il passa lentement sa main sous le slip et malaxa pour quelques secondes, la fesse gauche de ma femme. Semblant changer d’avis, il la retira, la descendit plus bas le long du slip. Il l’empoigna et le serra, ce qui eu pour effet de dévoiler les fesses de ma femme. « Comme le slip d’un lutteur de Sumo », pensai-je malgré-moi. J’étais en état de choc, incrédule. Mes mains tremblaient et il me semblait entendre distinctement les battements de mon cœur. À quelques mètres de moi, René se mit à tirer le slip de ma femme vers le haut en le faisant bien pénétrer dans la raie fessière. Je vis le postérieur de mon épouse s’élever de quelques centimètres. René resta quelques secondes dans cette position, puis il redescendit ...
    ... sa main droite, tenant toujours fermement le slip. Le postérieur de Suzanne redescendit aussitôt. René répéta ensuite ce mouvement de va-et-vient qui imprimait un rythme régulier au postérieur de ma femme. — C’est toujours lui qui dicte le rythme… Il lui fait sûrement comprendre comment elle doit le sucer, souffla Nicole crûment, sur un ton de connaisseuse.— Je t’en prie Nicole ! Arrête ! fis-je d’une voie pleurnicharde. J’étais soufflé par le spectacle; ravagé par la vision de ma femme vautrée sur un autre sexe. J’en voulais terriblement à Nicole de m’avoir fait découvrir cela. Comme un roi antique, j’en voulais au messager rapportant de mauvaises nouvelles. Mais elle n’y pouvait rien. Les deux coupables de mon malheur étaient ma femme et mon soi-disant ami. — Ça va devenir sérieux. Une fois encore, Nicole m’exaspérait. Comment donc cela pouvait-il devenir plus sérieux encore ? Je n’allais pas tarder à le savoir… Sur le divan René avait maintenant lâché le slip et avait enfilé sa main droite bien plus loin, en direction du vagin de ma femme. Il s’affaira quelques secondes. Puis il s’aida de sa main gauche qu’il ramena pour manifestement écarter les fesses de Suzanne. Celle-ci avait stoppé son ouvrage et relevé la tête. Les yeux clos, elle se mordillait la lèvre inférieure, ce qui, mes vingt années de vie commune m’avaient enseigné comme un signe inconfondable de son excitation. Finalement René ressortit sa main droite et parla à ma femme avec un sourire. Celle-ci ouvrit les ...
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