Le choc
Datte: 03/06/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
fête,
fsoumise,
Oral
pénétratio,
fdanus,
confession,
extraconj,
... yeux, se retourna et inspecta les doigts de René, qui luisaient humides sous la clarté lunaire. Elle rit, dit quelque chose, amena sa main vers sa bouche et lui cracha sur les doigts. Que faisaient-ils ? Encore une fois, Nicole me déchiffrait le programme du spectacle : — Aaahh, le fameux doigtage de Monsieur René ! Je n’osais pas imaginer ce qu’elle entendait par là, malgré la pensée d’horreur qui me remplit l’esprit. « Mais elle ne va pas se laisser faire, tout de même… » Mes yeux incrédules virent la main dégoulinante de salive et sécrétions se réenfiler sous le slip de ma femme, mais cette fois s’arrêter bien plus haut qu’auparavant… à l’endroit que je craignais. René remonta également sa main gauche pour manifestement écarter à cet endroit les fesses de Suzanne. La tension était palpable. Je n’en pouvais plus. Je dus me retenir des deux mains au bord de la fenêtre. Nicole ne disait rien, mais je sentais sa respiration devenir saccadée, ne restant pas insensible au spectacle de totale soumission qu’offrait ma femme. Sur le divan, René s’affaira quelques instants à son ouvrage. Suzanne s’était repenchée sur son bas-ventre, mais cette fois-ci n’avait pas repris sa fellation. Elle avait la tête posée sur le côté, tournée vers notre direction, et nous pouvions distinctement apercevoir son visage qui nous apparaissait en dessous du bras gauche de René. Ses yeux étaient clos, sa bouche ouverte. Subitement elle redressa sa tête en venant poser son menton sur le torse de son ...
... vainqueur. Sa bouche maintenant grande ouverte émit un râle qui se fit entendre jusque dans la chambre de Nicole, malgré la fenêtre hermétiquement fermée. — Il doit lui avoir enfilé au moins deux ou trois doigts au fond ; mon petit salaud… remarqua Nicole sur un ton laconique. Je sentis les larmes me monter au bord des yeux. René parla rapidement à ma femme, mais elle ne réagit pas, restant dans la même position, la bouche toujours grande ouverte. Les mouvements saccadés du haut de son dos trahissaient sa respiration haletante. René reparla à ma femme, puis il sortit sa main gauche des fesses de Suzanne pour venir lui appuyer fermement sur le sommet de sa tête. L’intention était évidente. Ma femme ne se déroba pas et fit glisser sa tête vers le sexe de René. Elle sembla l’engloutir d’une bouchée. Le slip blanc de mon épouse nous cachait la main droite de René. C’était un ou des doigts de cette main qui s’affairaient dans le tréfonds de ma femme. La rythmique que René imposait à cette pénétration, certainement douloureuse, nous était révélée par les mouvements réguliers du tissu de coton du slip qui recouvrait cette main, en formant une bosse obscène entre les fesses de Suzanne. — Quand tu le suces, il adore te faire cela… surtout quand il te sent bien serrée… Je n’avais plus la force de me révolter, et d’ailleurs j’avais l’impression que Nicole ne disait même pas cela pour me blesser, mais naïvement pour me tenir le mieux informé sur l’évolution de la situation ; pour que je ...