1. Le choc


    Datte: 03/06/2021, Catégories: fh, extracon, fête, fsoumise, Oral pénétratio, fdanus, confession, extraconj,

    ... saisisse tout ce que ma femme subissait. Pour être serrée, Suzanne devait certainement l’être, ne m’ayant jamais permis une quelconque pénétration autre que vaginale. Sa région anale était un véritable no-man-land, enfin je le croyais jusqu’à ce soir… Les seules fois où je pouvais effleurer furtivement son anus étaient lorsqu’elle était sur moi, que je la pénétrais d’un rythme rapide et qu’elle était au bord de l’orgasme. À ce moment uniquement, j’avais l’impression qu’elle se laissait aller, se concentrant uniquement sur son plaisir personnel, concentrée sur le frottement vaginal et l’effleurement de mon bas-ventre sur son clitoris. Ce n’était d’ailleurs qu’une impression, car dès la fin du coït, elle me reprochait invariablement les escapades de mes doigts, en me disant d’un ton excédé que décidemment je n’apprendrais jamais rien, et que même après vingt ans de vie commune, je ne savais toujours pas ce qu’elle détestait. J’étais perdu dans mes pensées et ne suivais que distraitement l’évolution de la situation sur le divan. Subitement, René sembla se cabrer ; il parla à ma femme et rejeta sa tête vers l’arrière. — Eh bien ! Elle l’a fini bien avant que je ne m’y attende ! Elle semble douée, ta petite Suzanne… En effet, sur le divan il semblait bien que la chose approchait de sa fin. René, la tête toujours en arrière avait maintenant retiré ses doigts du postérieur de ma femme, et sa main droite vint s’agripper au dossier du divan. Sa main gauche vint se placer sur la nuque ...
    ... de Suzanne, comme pour s’assurer qu’elle n’allait pas interrompre sa fellation au moment crucial. L’orgasme de René se fit perceptible par des soubresauts au niveau de ses genoux ; la pensée me vint qu’en ce moment même, le sperme d’un autre homme était en train de se frayer inexorablement un chemin dans la gorge de mon épouse. Je saisis vaguement, et comme lors d’un brouillard éthylique, que René ne se laissait pas complètement aller, et qu’il se penchait pour dicter sûrement de nouveaux ordres à ma femme. Après quelques secondes, il retira la tête de ma femme de son bas-ventre en lui tirant délicatement les cheveux de sa main gauche. Quand sa tête fut relevée, il la lâcha et amena de cette même main gauche son pull qui traînait sur le divan sur son sexe maintenant à demi-érigé. Il amena alors sa main droite, dont les doigts avaient sondé, il y a quelques instants, le tréfonds de ma femme, en dessous de la bouche de celle-ci. Il reprit à lui parler. — Mais où veut-il en venir ? se demanda Nicole en chuchotant, semblant deviner ma semblable interrogation. Comme pour nous répondre, Suzanne commença alors à recracher maladroitement du sperme qui se trouvait encore dans sa bouche. La semence, mélangée à sa salive, coula sur les doigts de René et entre ceux-ci sur son pull. Quand elle eut fini, il écarta de côté sa main droite, pour visiblement ne pas souiller ma femme. Après que Suzanne se soit essuyée la bouche sur une des manches encore intacte, il enleva son pull de sa main ...
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