Conte Noël qui se finit (commence) en juillet
Datte: 04/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
conte,
amourpass,
... piqueur. Putain, elle me baisait. Splash, splash, splash ! Ça résonnait dans ma tête ! Foutre foutrement bon. Splash, splash, splash ! Crache dans son vagin, tir continu. Corps en ébullition. Tension maximum. Ses ongles dans ma peau enfoncés jusqu’au sang. Contraction étranglée de ses lèvres. Ma queue en éruption prisonnière. Jouissance infinie. Cris mêlés. Silence. Pffffffffffffffff ! Impression de se dégonfler ! Euh, oui, pas qu’une impression. Mais pas seulement à cet endroit précis que rigoureusement ma mère interdit de nommer ici ! Sentiment que nos deux corps se ramollissent. Les seins de Sarah s’avachirent sur mon torse en sueur. Ses mains douces sur mon visage. Plénitude. Puis la phrase qui tue : — Vincent, c’était merveilleux ! Je t’aime. Réaction première, au-delà de la satisfaction primale d’avoir apparemment comblé les besoins charnels d’une jeunette, une grande joie à voir mes sentiments partagés. Même dans mes rêves le plus fous, je n’aurais pu imaginer tel dénouement. Après ses mots, elle se lova dans mes bras posant sa tête sur ma poitrine. Comme une enfant rassasiée, elle avait fermé les yeux, mis son pouce dans sa bouche et déjà sommeillait. Je n’osais plus bouger. Je n’arrivais pas à trouver le sommeil. Les pensées tourbillonnaient dans ma tête. Le tombereau des emmerdes à venir se déversait dans mon esprit soudain rafraîchi. Que moi je l’aime, c’était pas bien grave. Mais qu’elle, à son âge, tombe amoureuse d’un vieux croûton comme moi… Cela ne pourrait ...
... durer et ça nous ferait beaucoup de mal ! J’allais devoir mettre les choses au point. Enfin ça attendrait demain matin… Dimanche matin Un baiser dans le cou me réveilla. Baiser qui se transporta rapidement sur ma poitrine, mes tétons. Humm, se laisser aller à ses caresses divines. Non, je devais me reprendre tout de suite. Si je… après ce serait trop tard. Je connaissais l’animal qui était en moi. Avec toute la délicatesse que je pus, je la repoussai : — Sarah, il faut qu’on parle.— Tu crois, roucoula-t-elle. On a mieux à faire. Déjà, elle tentait de reprendre ses baisers. Je la repoussai et récupérai mes lunettes. Son visage s’était fermé. Elle avait compris que tout ne se passait pas comme elle voulait. — Qu’est-ce qu’il y a ? Ouille, je sentais la colère apparaître dans son ton. — Il y a, Sarah que tu as vingt et que j’en ai soixante et que…— La belle affaire ! Qu’est-ce qu’on en a foutre ! On s’aime, c’est le principal ! Oui je l’aimais ! Mais lui expliquer ce que je ressentais allait être compliqué, ne simplifierait rien et je risquais de me trouver désarmé devant ses attentes. Et céder à ses avances. Ma grand-mère m’avait toujours dit « lorsque tu enlèves un pansement, tire d’un coup sec, ça ne te fera pas plus mal et ça durera moins longtemps. » Je décidai d’agir ainsi. N’importe comment, notre amitié était foutue alors j’employai le seul argument imparable : — Désolé, Sarah, TU m’aimes, enfin tu le crois.— Je ne le crois pas, je le sais, je le sens.— Oui mais moi, je ne ...