1. Conte Noël qui se finit (commence) en juillet


    Datte: 04/06/2021, Catégories: fh, hplusag, amour, Oral pénétratio, fsodo, conte, amourpass,

    ... t’aime pas.— Salaud ! Espèce d’enculé. T’es encore pire que Yann.— …— Lui au moins il s’est attaqué directement à mon cul. Il n’a pas essayé de me séduire.— Merde, Sarah ! Je n’ai rien essayé du tout. Nous avons eu un moment de faiblesse. D’accord, y’a plus intelligent comme phrase mais je n’allais pas lui dire que c’était quand même un peu de sa faute car elle m’avait chauffé à blanc. — Un moment de faiblesse ! Espèce de pourri… Et c’est là que les éléments se déchaînèrent. Elle me sauta dessus. Ses ongles me labourèrent le visage, la poitrine. Bloquant ses poignets, j’essayai tant bien que mal de la repousser sans la brutaliser. Ne pouvant plus me griffer, elle me donnait des coups de pieds, visant mon bas-ventre. Dans nos ébats guerriers, nous avions retrouvé la position verticale. Lâchant un de ses poignets, je voulus intercepter son pied droit. Mal m’en pris, la main à peine libérée pris la direction de ma joue. Je ramassai une de plus belles beignes de ma vie. Mais je tenais son mollet. Déséquilibrée, elle s’affala sur le matelas, m’entraînant dans sa chute. Nos deux corps se retrouvèrent étroitement encastrés. Cette proximité de nos épidermes déclencha chez moi une érection instantanée. — Mais tu bandes ! T’es vraiment encore plus taré que je croyais. Et à ce moment du récit où notre combat aurait pu se transformer en joute amoureuse, je hurlai de douleur. Son genou venait d’entrer violemment en contact avec mes roubignolles. Elle en profita pour se dégager et ...
    ... s’enfuir. Elle n’y était pas allée de genou mort. Il me fallut plus de quelques secondes pour récupérer. Quand je me levai pour la rejoindre, j’entendis claquer la porte d’entrée. Presque immédiatement après, le ronflement énervé d’un moteur qu’on malmène. Et puis merde, un tour en voiture la calmerait. Elle ne m’avait pas raté, la garce ! La maréchaussée Après son départ, je restai un bon moment prostré. Entre la douleur qui irradiait de mon entrecuisse et celle qui broyait mon cœur. Une fois que j’eus physiquement récupéré, je tournai en rond. Cinq heures du mat, il était inutile que je retourne me coucher, je ne me rendormirai pas. Je bus plusieurs cafés. Je me maudissais d’avoir joué les chevaliers blancs, de l’avoir repoussé tout en restant persuadé que j’avais su, pour une fois, raison garder. J’avais vainement essayé de l’appeler sur son portable un certain nombre de fois mais je tombai, inéluctablement, sur sa messagerie. Coup de sonnettes. Je jetai un œil à la pendule : six heures. Elle n’avait pas tenu une heure et j’avais l’impression qu’il s’était passé une éternité. Partie comme une furie, elle n’avait pas dû prendre ses clefs. Je me précipitai vers la porte près à m’excuser. Je l’ouvris et je restai bouche bée. Deux pandores en uniforme, un grand, un petit. — Monsieur Dugland ? m’interrogea le petit en me regardant d’un air suspicieux.— Oui.— Connaissez-vous Mademoiselle Sarah Porterat-Gros ? Elle n’était quand même pas allée voir les flics ? Pour ça qu’il me regardait ...