Conte Noël qui se finit (commence) en juillet
Datte: 04/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
conte,
amourpass,
... commençait à se sentir très à l’étroit. C’était bien parti. C’est du moins ce que je croyais. Les minutes suivantes n’infirmèrent pas cette idée. C’était très chaud sur la piste. La dame (nous n’avions pas encore échangé une seule parole, encore moins nos prénoms) ne restait pas inactive. Elle me pelotait joyeusement le cul. Ses lèvres papillonnaient dans mon cou. La garce m’allumait sec. Durant le deuxième slow alors que la salle était plongée dans l’obscurité, je tentais de prendre ses lèvres. Elle ne me les refusa pas. Au contraire, sa langue perforante me prouva rapidement qu’elle n’ignorait rien du « french kiss ». Son bassin, par des ondulations savantes, me masturbait mieux que l’aurait fait sa main. Au bout de deux minutes de ce traitement, mes petits spermatos pointaient à deux centimètres de la sortie. Sauvé par le gong ! La musique s’arrêta. Comme à regret, nos corps se décollèrent. Elle se recula et j’entendis enfin sa voix : — Mon cher, j’ai beaucoup apprécié cette danse… Tu parles mon neveu. Pour apprécier, elle avait apprécié ! Sa mini n’avait pas résisté. Malgré la faible luminosité, je pouvais constater l’humidité révélatrice qui la décorait. — … mais je suis une femme sérieuse. Vous me plaisez mais je ne cherche pas une aventure d’un soir… Elle avait failli me violer sur la piste mais… Je faillis éclater de rire mais je suis poli. Ensuite, le son de sa voix de nunuche, le sens de ses paroles me fit débander illico. Ouille, ouille, c’était le genre de ...
... gonzesse que j’évitais avec application. Galant malgré tout, je l’invitai à notre table, me demandant comment j’allais m’en débarrasser. Je pouvais toujours profiter de l’instant. Quelques danses aussi chaudes plus tard, il serait temps de lui expliquer que moi, je n’étais pas un homme sérieux. Nous échangeâmes quelques mots. J’appris son nom de scène : Selma. C’est à ce moment que Yann se pointa. Je les présentai. Yann en avait la langue pendante. Aussitôt il mit en route la machine à draguer. Soulagé, je lui abandonnai ma proie. Fine mouche, celle-ci avait, je suppose, capté qu’elle n’avait guère de chance d’arriver à ses fins avec moi mais que ce ballot de Yann serait la proie idéale. Dès lors, je représentais un ennemi potentiel et elle se débrouilla pour m’éloigner. Pour tout dire, elle n’avait pas entièrement tort. Si Yann m’avait demandé mon avis… Mais il ne le fit pas. La suite des événements prouvèrent malheureusement qu’il aurait dû. Entre boire un coup avec moi et en tirer un avec Selma, Yann n’avait pas réellement le choix. Notre relation superficielle et de circonstance n’avait pas résisté à cette pression constante dans son bas-ventre. Et lui me parlait d’amour. — Faut voir à pas confondre amour et bagatelle, me disait-il.— Prends garde à pas traiter comme une affaire capitale, une petite fantaisie sentimentale, lui répliquai-je en pillant Tonton Georges. Cette réplique trop ironique avait mis fin à nos sorties. Aussi est-ce avec surprise que j’avais accueilli sa ...