1. Conte Noël qui se finit (commence) en juillet


    Datte: 04/06/2021, Catégories: fh, hplusag, amour, Oral pénétratio, fsodo, conte, amourpass,

    ... avant minuit, jamais une allusion, jamais de dérapages malheureux, même si… Même si, je n’étais pas insensible à son charme. Lorsque, le soir, elle sortait de la salle de bain, après avoir tombé son uniforme de banquière, vêtue d’un short et d’un t-shirt, elle laissait éclater sa féminité. Pas canon selon les critères actuels. Hanches larges, fortes cuisses musclées mais sans trace de cellulite, des seins lourds sur lesquels je ne pouvais m’empêcher de loucher. Une silhouette voluptueuse qui incitait à l’amour. Quand à la fin du repas, elle se délestait de ses horribles binocles, sa fraîcheur, sa jeunesse, l’intelligence de son regard m’éblouissaient. Bien sûr, j’avais des envies libidineuses mais comme elle l’avait dit, je n’étais pas « un gros porc ». Aussi, je m’habituais à notre vie de « couple », j’appréciais de ne plus passer mes soirées en solitaire. Les sentiments d’amitié que j’éprouvais pour elle, évoluaient lentement mais sûrement. À soixante balais, j’étais en train de tomber amoureux de cette gamine de quarante ans ma cadette. Il ne fallait surtout pas que je fantasme. Je n’avais pas envie de passer à ses yeux pour un vieux pervers. Je devais me méfier si je ne voulais pas gâcher cette belle entente par une geste inadéquat. Pourtant, je constatai avec un plaisir trouble qu’au fur à mesure de l’avancée de la semaine, Sarah se montrait plus séductrice, en tout cas se lâchait. Le vendredi soir, nous finîmes la soirée, sur la terrasse, assis à même le sol, sa tête ...
    ... sur mon épaule, mon bras autour de sa taille. Je savourais, à travers la mince étoffe du t-shirt, l’élasticité de son jeune corps. Ma main s’était posée sur une parcelle de hanche dénudée. La chaleur de sa peau satinée provoquait en moi une montée… d’adrénaline. Heureusement, l’heure passait. Nous nous séparâmes sur un chaste baiser rempli d’arrières pensées. À mon lever, ce samedi matin, Sarah avait préparé le déjeuner. Week-end oblige, elle n’avait pas cru bon de s’habiller. Elle portait en tout et pour tout, un grand t-shirt qui lui faisait office de chemise de nuit. Ses cuisses largement dénudées, sa poitrine vivant librement sous l’étoffe me perturbèrent énormément. À plus d’une reprise mes morceaux de pain grillé terminèrent au fond de mon bol. Situation d’autant plus déstabilisante que j’avais l’impression qu’elle était tout à fait consciente de mon trouble, que la situation l’amusait, qu’elle en rajoutait. Croisements et décroisements répétés de ses jambes, réajustements fréquents de son t-shirt, je ne savais plus où ne pas regarder. Soulagement, lorsqu’elle me proposa d’aller faire les courses. Soulagement relativisé, lorsqu’elle m’invita à l’accompagner. Soulagement effacé, lorsque dans le supermarché, elle passa son bras sous le mien, son sein libre d’entrave pesant contre moi, comme si nous étions… Le week-end allait être compliqué. Je ne voulais pas avoir d’embrouille avec elle. Une évidence, elle me faisait bander. Autre évidence, elle avait beau dire que j’étais ...
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