Conte Noël qui se finit (commence) en juillet
Datte: 04/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
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... planta ses ongles dans ma chair. — Non… je t’en prie… pas arrivé ! C’est un pauvre type. Elle avait épuisé son quota de larmes et, avec un calme presque inquiétant, elle me raconta l’agression. Depuis plusieurs jours, il se montrait charmant voire charmeur, avait des petits gestes prévenants, des attouchements affectueux. Elle l’avait remarqué sans y prêter une attention particulière. Ce soir, il l’attendait. Manifestement pas seul, son haleine était éloquente. Il avait commencé par la baratiner, la flatter, l’enlacer. Elle n’avait pas osé le jeter brutalement. Il avait pris ça pour un encouragement, il s’était enhardi. Il avait voulu poser ses pattes sur sa poitrine, elle s’était dégagée et l’avait renvoyé dans ses 22. Il l’avait mal pris, s’était énervé, l’avait traité de salope, d’allumeuse et d’autres noms d’oiseaux. Là, il avait perdu le contrôle… Il avait essayé… Elle avait pu se libérer et s’était enfuie. Elle avait couru chez moi. Fin de l’histoire. À ce moment, Sarah se remit à pleurer. Je la berçai doucement. — C’est fini. Tu es en sécurité. Ce salaud ne te touchera plus.— Je sais, Vincent. Mais j’ai toutes mes affaires… et puis je vais aller où ? Je vais pas pouvoir trouver un appart comme ça… pour même pas un mois.— Stop mam’selle ! Tes affaires, on va aller les chercher !— Je veux pas retourner là-bas ! je ne veux pas le revoir !— Tu ne le reverras pas ! parce qu’on va d’abord passer au commissariat !— Non !— Quoi non ? Tu veux pas porter plainte ?— Pfft ! Il ...
... m’a pas violé… et c’est la faute de ma mère. C’est juste un pauvre type !— C’est toi qui décides ! Il ne sera pas là quand même ! Et pour où aller ? Tu peux bénéficier de ma chambre d’ami, autant de temps qu’il te plaira. Enfin si après ce qui t’es arrivé, tu me fais confiance.— Toi, c’est pas pareil, a-t-elle affirmé en se jetant à mon cou et en me collant deux baisers sonores sur les joues, au coin des lèvres. Tu n’es pas un gros porc. La confiance qu’elle m’accordait me fit chaud au cœur mais me reléguait au rang de vieux papy gâteux. J’appelai Yann, lui expliquai que nous allions passer prendre les affaires de Sarah, qu’il ferait bien d’aller faire une promenade. Il commença par regimber. Je lui répliquai sèchement que s’il en était ainsi, nous viendrions avec les flics. Il a tout de suite mieux compris. À dix heures du soir, ses affaires rangées dans la chambre d’ami, nous partagions une pizza bien méritée, arrosé d’un verre de vin. Semaine de rêve, week-end de merde Divine semaine. Nous nous organisâmes très vite. Le matin, elle passait à la salle de bain, passage rapide d’ailleurs. Pendant ce temps, je préparais le petit déj’. Ensuite c’était mon tour. Quand j’en sortais, elle était sur le départ. Nous nous retrouvions après le travail, aux environs de 18 heures. Une petite bière sur la terrasse pour chasser les miasmes de la journée, un brin de toilettes, préparation du repas du soir. Nous mangions dehors et le dîner se poursuivait tard dans la soirée. Jamais couchés ...