16 sur 20
Datte: 04/06/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
vacances,
dispute,
Oral
jeu,
... je ne pouvais rien dire pour expulser ma rage, sinon être sarcastique : — Il aurait fallu qu’elle te fasse quoi pour que tu lui mettes 20 ?— Déjà, elle n’était pas à poil, juste le haut. Je n’ai pas eu le temps de lui enlever sa jupe. Ça aurait été plus sexy si elle avait été entièrement nue. Avec sa bouche, elle ne s’est occupée que de mon gland. Pas un seul coup de langue ailleurs. Et j’aime bien qu’un doigt remonte dans la raie des fesses. Ça non plus, elle ne l’a pas fait. Mais c’était la première fois. 16 sur 20 pour un début, c’est une excellente note. Elle peut grimper jusqu’à 18 ou 19 d’ici à la fin des vacances. Mais pas 20. Elle n’a pas la bouche pour ça. En plus, il critiquait Sophie. C’était de pire en pire. J’ai préféré l’arrêter. En matière de pipes, j’en avais assez entendu : — Pourquoi tu ne l’as pas baisée après ?— C’est elle qui a tiré le rideau : elle s’est levée et a remis son tee-shirt. Moi, j’étais encore dans les vapes. Et quand je tire un bon coup, ça me suffit. Ce genre de femme, il faut les laisser venir, ne pas chercher à les comprendre. Demain, je suis sûr, elle voudra se faire sauter. Si elle baise aussi bien qu’elle suce, ça va être grand. Et toi, ça a marché avec Cécile ?— Non. Je n’en avais pas vraiment envie. Je n’allais quand même pas me forcer.— Ça ne se commande pas, mais quand même, elle est pas mal. Et ça serait plus pratique. Comme ça, demain soir, tu pourrais dormir avec elle dans son bungalow, et moi avec Sophie.— Tu as raison. Je ...
... vais y penser. Après tout, si Sophie voulait s’envoyer en l’air avec ce type, pourquoi je me gênerais ? Au moins, on serait sur un pied d’égalité. C’était une réaction idiote. Gilles, repu, satisfait, s’était endormi. Moi, je ne pouvais pas. Je pensais à Sophie, au sexe de ce type planté dans sa bouche. Je n’avais pas besoin de faire de gros efforts d’imagination. Ça s’était passé là, dans cette pièce où je dormais, où j’avais mes affaires, sur le lit voisin du mien. Et Gilles n’était pas du genre pudique. Plusieurs fois, il s’était baladé nu dans le bungalow en sortant de la douche, le sexe pendant. Il y a pire encore que d’être cocu : être cocu et ridicule. J’étais les deux. L’homme qui s’était vidé dans la bouche de ma femme dormait tranquillement à côté de moi. J’avais même été obligé d’écouter ses commentaires graveleux sur les talents amoureux de Sophie ! Il ne pouvait quand même pas inventer ce qu’il m’avait dit. Je me disais que c’était impossible, qu’on ne pouvait pas avoir gâché tout ce qu’on avait construit, notre amour, pour un type comme lui. Subitement, le doute m’a assailli : s’il n’avait pas était le premier, s’il y avait eu plein avant lui, depuis le premier jour, pour qu’elle se livre ainsi à un homme rencontré dans un club de vacances, presque sous mes yeux en plus, dans ma chambre ? Il fallait que je lui parle. Je me suis levé, me suis rhabillé, et j’ai marché vers son bungalow. Elle était assise sur le sable, devant sa porte, les pieds nus. Elle fumait une ...