1. Mon minou est nu


    Datte: 08/11/2017, Catégories: f, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, confession,

    ... que j’aurais autant de plaisir à être dominée par quelqu’un qu’à dominer moi-même une autre personne. Je parle là d’une domination douce. Pas de donjon, de Maître ou de Maîtresse, de cagoule, de lavement, de pipi, de caca, d’animaux, de latex, de suspension attachée, de pinces à linge, de brûlures de cigarette, de selle ni de cravache. Rien de sordide. Seulement des choses subtiles, suggérées dans un climat de confiance absolue. Pas d’exhibition forcée non plus, ça je m’en charge. Je ne veux pas être mise en danger face à mes amis, dans mon travail ou ma famille et je tiens avant tout à être respectée. Malgré cela, j’aimerais être contrainte, être soumise intellectuellement, obligée de faire certaines choses, avec pour limites données un laps de temps après lequel je retrouverais ma liberté d’agir. Quelque chose du genre : « De tel jour, telle heure jusqu’au lendemain sept heures, je pourrais être votre esclave. ». Il n’est pas exclu que par courrier, par téléphone, je sois également contrainte à certaines pratiques dont je doive rendre compte. Mais, de même que je me refuse une vie en couple pour pouvoir conserver ma liberté d’agir, je ne peux m’autoriser à être soumise à qui que ce soit durant la totalité de mon temps, serait-ce même par correspondance. Si j’ai autre chose à faire, il faudra que je le fasse prioritairement. Je comprends bien que ce genre de soumission n’est pas très conforme à ce que je lis ici ou là, mais j’imagine très bien en tirer tout de même de ...
    ... douces satisfactions. Je donne un exemple. Je suis avec une femme qui me domine. Je la vouvoie dans le cadre de ma soumission mais je la tutoie le reste du temps. Il faut bien comprendre que je ne suis en aucun soumise à elle dans la vie normale. Pour moi, les choses sont claires : il s’agit d’un jeu et seulement d’un jeu, pas d’un état d’esprit permanent. Nous sommes sur un banc dans un petit parc ou assises dans un musée, une bibliothèque ; bref, nous sommes dans un lieu public où se trouvent quelques autres personnes dont un homme ou une femme seule. Disons que c’est un homme. Mon amie (car il faut qu’elle le soit) me dit : Je fais ce qu’elle me dit et je vais vers l’homme en question. Je m’assois à côté de lui. Je lui souris. — Bonjour !— Salut ! Je commence à lire à haute voix : Je montre du doigt mon amie sur le banc. — Acceptez-vous que je vous lise à haute voix les ordres qu’elle m’a donnés ? Je regarde l’homme qui a de jolis yeux bleus. — Oui, bien sûr, si vous êtes obligée ! Il m’a répondu avec ironie. Je continue mais je suis un peu troublée car les mots « je suis l’esclave de la dame » ont provoqué un délicieux frisson dans mon dos et sur ma nuque. (Pfouuu ! Je souffle et je commence à rougir) Je reprends mon souffle, je pousse un soupir parce que ça m’excite beaucoup et, pour mieux jouir du moment, je fais une petite pause avant de poursuivre. Je n’ose plus le regarder. Mon excitation commence à se manifester physiquement. Je soupire encore, je jette un regard autour ...
«1234...9»