Mon minou est nu - Histoires de Sexe

Mon minou est nu

... de moi et je lis le reste. L’homme a un large sourire. Il me répond : — Attendez un peu. Oui, on va le faire ! Comment tu t’appelles ?— Mélanie, Monsieur ! (Ce n’est pas vrai).— Donc, Mélanie, tu as vraiment envie que je baisse ta culotte et que je regarde ton sexe, ce n’est pas commun. Tu es rasée ?— Oui, Monsieur, j’ai très envie que vous baissiez ma culotte et que vous regardiez attentivement mon sexe qui effectivement est rasé.— Bon, c’est d’accord, mais la culotte tu la retires toute seule.— Oui, Monsieur. Comment dois-je faire ?— Attends, je réfléchis… … — Tu vas jusqu’à l’arbre là-bas, ça devrait être plus tranquille. Tu t’appuies contre l’arbre, tu retires ta culotte tranquillement, tu la gardes à la main et tu reviens la poser sur le banc. Ensuite, tu te places devant moi, tu me tournes le dos, tu prends dans ton sac une brosse à cheveux… tu dois avoir ça ?— Oui Monsieur, j’ai une brosse à cheveux.— Eh bien, tu te brosses un peu les cheveux pendant que je regarderai ton… minou.— Oui, Monsieur. J’y vais ?— Vas-y ! Je fais tout ce qu’il m’a dit. Je vois deux gars et une fille qui me regardent à une vingtaine de mètres mais je retire tout de même ma culotte. Ça me semble assez facile car je le fais pour un homme qui n’est pas loin et ça me rassure. Seule, j’aurais procédé autrement. J’apporte la culotte et je la pose sur le banc. Je me place devant le gentil voyeur à qui je tourne le dos et je me brosse les cheveux. J’ai le cœur qui bat un peu fort, une sorte de vide au ...

... creux du ventre mais je suis assez fière d’avoir réussi jusque-là. Je sens des mains douces et chaudes passer sur mes fesses et les caresser un peu. Elles soulèvent franchement ma robe. L’une retient le vêtement sur ma taille, l’autre me caresse toujours. Je fonds. C’est un délice. J’ai les fesses dénudées et je sens la fraîcheur de l’air sur ma peau. J’aimerais que cet homme qui me mate me dise ce qu’il voit. Je voudrais l’entendre. Mes lèvres gonflent et se mouillent doucement. Je cherche en vain mon amie du regard. Où est-elle ? Mes tétons pointent. Je n’imaginais pas avoir un tel plaisir. Je voudrais bloquer le temps. — Très joli minou !— Merci Monsieur !— Écarte un peu tes jambes !— Oui, Monsieur ! J’écarte les jambes et je continue de me brosser les cheveux. « OUAOUUH ! » C’est moi qui me suis exclamée ! Il vient de m’écarter les fesses pour (j’imagine) regarder mon cul, enfin, mon trou, quoi ! Je me sens honteuse ! Mon sexe est trempé. — Tu me donnes envie Mélanie !— Merci Monsieur !— Je vais te donner mon numéro de téléphone au cas où… Il prend un stylo et écrit au dos de mon papier : Voilà exactement le genre de trip qui me plaît. C’est un plaisir subtil. Les sensations que j’ai eues en racontant l’histoire sont fortes. Je suis réellement mouillée, là, au moment où j’écris. Pourtant, Mélanie n’existe pas. Dans l’histoire, je suis ce personnage car je le crée, mais c’est toi qui l’incarnes maintenant. J’adorerais vivre cette expérience, même si je sais qu’il y a loin ...