Mon minou est nu
Datte: 08/11/2017,
Catégories:
f,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
confession,
... du fantasme à la réalité. Il suffirait que l’homme à qui je m’adresse pour jouer m’envoie balader, me traite de dégénérée, de grosse salope pour gâcher ma journée et m’attrister assez pour m’entraîner à pleurer. Je ne parle même pas des propositions lourdes ou salaces et des gestes déplacés dont je pourrais être victime. Et pourtant, je suis prête à tenter ce genre d’expérience compatible à la fois avec mon exigence de liberté et ma recherche d’impressions fortes. J’aimerais aussi beaucoup avoir une esclave ! Comme un petit animal de compagnie… Une pas chiante qui ne resterait pas toujours dans mes pattes. L’idéal serait une mère de famille que je verrais une fois par semaine ou deux fois par mois. Je m’autoriserais quand même à lui téléphoner de temps en temps pour prendre des nouvelles et l’obliger à faire quelques petites choses pour éprouver sa soumission. Je pourrais lui envoyer des mails, des messages et exiger d’elle des travaux pratiques : des écrits sur son ressenti, l’étendue de sa soumission, la satisfaction trouvée dans son nouvel état, etc. On pourrait chater également une ou deux fois par semaine. Je saurais être une dominatrice attentionnée, aimante, respectueuse et n’empiéter en aucune manière sur sa vie familiale. Je pourrais d’ailleurs en faire partie. Je ne lui prendrais jamais son mari. Je n’en ai pas besoin. Je l’obligerais à me retrouver, nue sous un manteau, dans une église par exemple et, à l’intérieur du confessionnal, je lui dirais de se dénuder ...
... et de se caresser intimement en récitant une prière. Ou alors je lui donnerais une fessée en public (dans une autre ville, à l’occasion), dans un lieu public en remontant sa jupe et en l’obligeant à baisser elle-même sa culotte. Dans cette circonstance, je serais capable de faire face aux regards des promeneurs pour que ma petite esclave conserve à jamais le souvenir d’une agréable humiliation. J’ai de l’imagination et de la pratique dans la fiction lubrique. Et les hommes dans tout ça ? Il est vrai que je me vois plus facilement dominer une femme qu’un homme. Cependant, je pense que je pourrais soumettre un homme à ma volonté, à la seule condition que ma perception intellectuelle de la soumission lui convienne. Il faudrait également qu’il m’ait expliqué franchement et clairement l’étendue de ses fantasmes. Je crois que je l’obligerais tout d’abord à écrire un rapport de trente pages sur sa sexualité. Ce serait une sorte de base contractuelle. J’agirais de même avec une femme d’ailleurs. Certaines aventures me semblent difficiles à mettre en scène avec un esclave mâle. Par exemple, pour parler du scénario de Mélanie, j’imagine mal un homme soumis aller voir une mère de famille sur un banc en lui demandant qu’elle lui baisse son pantalon pour regarder son sexe. À mon avis, le pourcentage de réussite serait faible et le risque d’embrouilles élevé. Pour réussir, il faudrait tricher en envoyant l’esclave, sans qu’il le sache, vers une actrice connivente ce qui permettrait de ...