1. Mon minou est nu


    Datte: 08/11/2017, Catégories: f, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, confession,

    ... compliquer le scénario pour lui donner un tour a priori inattendu. Donc, pas de problème avec un esclave, mais ce n’est pas ce que je recherche. J’ai vraiment envie d’avoir une esclave à moi. Et le dominateur ? Tout d’abord, il faut que je sois claire. Quand je pense à ma soumission éventuelle, j’envisage de l’être à une femme. Les femmes m’excitent plus que les hommes et, même si je n’ai encore pas eu de relation homosexuelle, je l’ai cependant suffisamment fantasmée (cette hypothétique relation) pour être tout à fait prête à cet exercice ! (On pourrait même dire que je trépigne.) Donc, quand je parlais plus haut de ce que j’accepterais comme épreuves, j’imaginais qu’une femme m’y forçait. Sous la contrainte d’un homme, ce serait plus compliqué. Pour moi, les hommes n’ont pas beaucoup de crédit. Je ne veux pas dire par là qu’aucun homme ne mérite ma confiance, mais il me semble difficile de trouver un homme dont je puisse être sûre. Trop souvent, le sexe d’un homme passe avant son cerveau. Je respecte les hommes, mais accepter de me soumettre à quelqu’un suppose une confiance absolue. Il n’est pas question qu’un an plus tard on me lâche et qu’on raconte tout sur moi. Dans l’acte d’amour, j’aime être soumise à l’homme. J’apprécie cette force qui contraint. J’aime être soulevée, empalée sur un sexe dur, pliée vers l’avant en levrette, forcée, pénétrée, comblée. J’aime les bras qui protègent, l’épaule qui soutient. Oui, j’aime la force de l’homme, j’aime son sexe, mais c’est ...
    ... l’esprit de l’homme que je crains. Je crois qu’un homme reste toujours amoureux de lui-même. De son propre plaisir. L’illustration me semble facile. C’est une caricature bien sûr ! Je les appellerai Léo et Léa. Ça commence comme ça : — Ma chérie ? Ah ! Comme c’était bon hier ! Aujourd’hui, pour changer un peu je voudrais te prendre en levrette ! Léa se met gentiment en position, ses petites fesses en l’air. Une semaine plus tard, c’est la même chose. Mais Léo lui a offert des sous-vêtements : porte-jarretelles, bas noir en résille, culotte fendue ou à lacets, corset. Gentiment, Léa se déguise en jolie prostituée. Quelques semaines passent, puis, — Ah ma chérie, tu ne voudrais pas prendre mon sexe dans ta bouche ? J’adorerais ! Léa, qui n’a encore jamais sucé, trouve finalement la pratique excitante mais elle y met un terme qui frustre un peu Léo. Il revient à la charge régulièrement : — Tu ne sais pas Léa ? J’aimerais que tu ailles jusqu’au bout et que tu avales ! Que fait Léa ? Soit elle répond qu’il n’en sera jamais question, soit elle s’exécute, ce qui n’empêche pas l’arrivée de la suivante, inévitable ! — Ah, ma Léa ! J’adore quand tu te cambres, que je vois les petites fossettes au creux de tes reins et tes jolies fesses. Ça me donne envie de te prendre par là ! Léa va-t-elle bouder son plaisir si Léo passe sa langue sur les petits plis de son anus, titille d’un doigt leur épicentre et l’enduit d’un onguent adéquat ? Inoubliable souvenir… Les années passent, et puis : — ...
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