Deux étudiantes - Histoires de Sexe

Deux étudiantes

... presque le téton maintenant !" J’ai un petit rire nerveux : — Arrête Leila, tu me chatouilles— Mais non, ce ne sont pas des chatouilles, tu veux voir ce que c’est des chatouilles ? Et elle se met à me chatouiller les hanches, je me tords de rire et me débats. On se chamaille maintenant à coup de gratouilles puis soudain elle me fait face, son regard est voilé, vitreux, étrange et troublant. Sa main vient de se poser sur mon sein gauche et le caresse franchement… "Mais, mais… elle me touche !? " — Mais… arrête… qu’est ce que tu fais ? je bredouille.— J’ai envie de les toucher, ils sont gros, ils sont beaux. Laisse-moi faire rien qu’un p’tit peu— Non, non … dis je mollement Sa seconde main était venue attraper mon second mamelon et elle me faisait des petits bisous tendres dans le cou, de plus en plus lovée contre ma hanche. — Laisses-moi les voir, me souffle t elle. Son souffle s’était raccourci, sa lèvre supérieure s’était ourlée délicieusement et son regard, ce regard ! Elle relevait ma chemise bien contre mon gré et c’est sa bouche qui remplaça sa main sur ma peau dans un contact humide divin ! Je respirais maintenant l’odeur de ses cheveux, je sentais ma culotte se mouiller peu à peu… "C’est incroyable je suis en train de me faire téter par ma meilleure copine et je crois que j’aime ça en plus, je deviens folle !!!" — Non Leila ! Je ne veux pas ! Arrête, il…il faut dormir maintenant. Je haletais littéralement. Le père Delarue posait ses questions à dix balles à qui il ...

... voulait, je ne l’entendais plus. Leila non plus certainement car elle était dans un état d’excitation avancé, sa bouche quitta mes seins pour se plaquer sur la mienne je sentis sa langue chercher le passage, je tentais de résister en la repoussant mollement, puis mes lèvres cédèrent et nos langues s’enroulèrent… "Putain, mais qu’est ce que je fous ! Elle me roule des galoches et je la laisse faire !" C’était la première fois que j’embrassais une fille ; sa langue était petite et agile et sa salive avait un goût sucré. Elle me mangeait les lèvres, me léchait de partout, nos souffles devenaient rauques et impatients. Et puis tout s’accéléra, sa main descendit sur ma culotte et se glissa sous l’élastique je serrais encore les jambes essayant de m’esquiver en la repoussant du bras et en tournant la tête. — Non ! On peut pas, c’est… c’est pas bien ! protestai- je une ultime fois !— Laisse-moi faire, on fait rien de mal, j’ai trop envie et toi aussi me répondit-elle.— Non ! C’est pas v… J’avais laissé le passage à sa main malgré moi et ses doigts jouaient maintenant du piano sur mon minou déjà bien poisseux… "La salope !!! Elle me branle ! Elle me doigte !" Son majeur s’était frayé un passage entre mes nymphes et d’un va-et-vient lent, elle me caressait. J’avais dès lors perdu tout contrôle de la situation ; si je l’avais toutefois eu. Mes mains s’avancèrent sur ses seins et je me mis à les caresser à travers le T-shirt. Je cherchais maintenant sa bouche, lui rendant ses premiers ...