1. Deux étudiantes


    Datte: 06/06/2021, Catégories: ff, jeunes, couleurs, frousses, poilu(e)s, amour, cérébral, odeurs, Oral 69, init,

    ... plus profond de mon émoi, je la désirais comme je n’avais jamais désiré personne. Et je l’attirais vers moi, mélangeant encore une fois nos langues. Nos deux corps soudés, nos sueurs se mêlant, on se respirait, se frottait, se léchait, le cou, les seins, les aisselles… "Oooh, ses aisselles, Elle n’est pas rasée sous les bras ! Qu’est ce qu’elle sent bon ! Sa sueur a le goût poivré de sa petite chatte !" Et une odeur de fille "sale», une odeur de sexe avait envahit la petite chambre. Et ça continuait comme dans les films défendus : on se retrouva soudain tête-bêche, je repris mon ballet de langue où je l’avais laissé et Leila me fouillait maintenant l’entrejambe de sa bouche et de ses doigts. — Vas-y Caro, mets tes doigts, fais comme moi, baise-moi aussi avec ta main ! Oui comme ça, c’est bon … lèche ! Tu sens ma langue ? Ta chatte est si bonne ! Oh oui, ma chérie, bouffe moi ! Lèche- moi de partout ! Dans un 69 de folie, nos langues, nos mains caressaient tous nos orifices, dans un mélange de mouille, de salive et de sueur, excitées comme jamais. On se faisait l’amour comme s’il ...
    ... n’existait pas de sexe opposé. Nos doigts s’enfonçaient dans nos ventres en fusion par deux ou par trois, nos langues lubrifiaient nos petits trous pour les violer de nos pouces, nos gémissements, nos mots salaces n’avaient d’égal que notre état d’excitation. Et comme dans un concert des Floyd ce fut l’explosion : nous jouîmes ensemble, à l’unisson. Après une nuit folle rythmée par de nombreux autres orgasmes, il y eut le matin, avec d’autres caresses et un léger retard pour les cours. Puis force fut de constater que notre solide amitié, renforcée par la dépendance sexuelle qui s’était installée entre nous se mua en un amour qui dura pendant les deux années qui suivirent. Puis je quittais la France et Leila, pour suivre une fin de cursus à Londres. Je sais qu’elle est une vraie lesbienne, quant à moi, j’ai eu depuis des aventures variées, mais je n’ai jamais retrouvé une telle intensité sexuelle dans aucun de mes rapports qu’ils soient homos ou hétéros. Et aujourd’hui encore, après chacun de mes orgasmes, j’ai l’impression d’avoir son goût sur mes lèvres et son odeur dans mes narines. A Leila. 
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