Deux étudiantes - Histoires de Sexe

Deux étudiantes

... baisers. J’écartais mieux les jambes pour laisser coulisser ses doigts, l’odeur de mon sexe de rousse envahit mes narines, ajoutant un cran à mon excitation. — Ooh Leila, t’es une salooope… Tu…tu me fais du bien ! Elle accéléra son mouvement, frottant le haut de ma paroi vaginale, puis glissa rapidement un deuxième doigt sans aucun mal tellement je mouillais. C’était superbe ! Elle me branla mieux que je ne l’aurais fait. Son pouce caressait mon clitoris et je sentais venir le plaisir dans mon ventre. — Oui, ouiiiii, c’est bon, c’est trop bon …continue ! Tes doigts… tu va me faire jouiiiir ! Et j’eus un premier orgasme, me répandant sur sa main en gémissant de bonheur. — À toi Caro, fais moi jouir, vite, lèche-moi s’il te plaît ! J’ai envie de ta langue ! souffla-t-elle aussitôt en ôtant prestement le tee-shirt et la culotte. Elle avança son ventre vers mon visage, sa chatte était poilue et suintait de cyprine, elle sentait une odeur forte poivrée de brune méditerranéenne. J’avais de plus, une vue en contre-plongée sur un splendide ventre plat et des petits seins pointus au teint hâlé, enfin sur un visage plein de lubricité, ivresse du désir saphique de ma bouche sur son sexe. Elle léchait ses doigts, respirant mon plaisir dans l’attente du sien… "C’est une vraie gouine en fait ! Elle cachait bien son jeu, cette petite salope ! Mais elle est trop belle … elle me rend dingue… je sais plus ce que je fais … j’ai tellement envie d’elle ! J’ai envie de son cul ! Merde, qu’est ce ...

... qui m’arrive, je baise avec une fille et j’aime ça !" Je collai ma bouche à son pubis, elle frottait quasiment son minou sur mon visage tellement elle était excitée. Ma langue chercha d’abord son clitoris puis pénétra son puits d’amour furetant entre les poils de sa minette. Celle-ci avait un goût salé et ses effluves musqués étaient enivrants. Son jus me souillait le visage qu’elle m’inondait en oscillant lascivement du bassin. Son souffle court s’était changé en gémissements plaintifs. Mon état frôlait aussi l’apoplexie, mon ventre était en ébullition, je transpirais de partout et me sentais fondre rien qu’à la faire jouir dans ma bouche. J’avais les deux mains plaquées sur son petit cul de reine, l’appuyant sur mon visage comme si je voulais la pénétrer de tout mon corps en commençant par la tête. Je la lapai à grands coups de langue passionnés, jouant tantôt avec son clitoris, m’insérant tantôt à travers les poils entre ses lèvres ouvertes. Puis, me regardant soudain, les yeux révulsés, elle s’extrait de ma langue. — Je veux ta chatte Caro ! Je veux te lécher partout ! Je veux sucer ta moule de rouquine, pendant que tu me fais jouir !— Viens là d’abord, espèce de sale petite gouine, tu m’as bien eue, petite salope ! Alors maintenant colle-toi à moi, j’ai envie de sentir ton corps contre moi, tes seins contre mes seins, ton minou contre le mien. Je perdais complètement le contrôle, des mots crus sortaient de ma bouche, sa chatte m’avait rendu hystérique, je la voulais du ...