Sait-on jamais ? - Histoires de Sexe

Sait-on jamais ?

... c’est chaud, c’est bon ! Encore, encore, Sophie, je t’en supplie… Son mignon clito fait coucou entre ses lèvres roses. Et ma bouche bientôt dessus. — Ohé, ohé ! Ma langue entre ses lèvres finement ourlées, deux pétales de rose. — Ohé, ohé ! Ma bouche qui aspire le clito. — Ohé, ohé !— Ici, ici ! On est ici !— Pourquoi tu les appelles, Sophie, mais pourquoi ?— Pour qu’ils te voient comme tu es là, pour qu’ils… participent. C’est bien ce que tu veux, non ?— Non ! Je veux que tu… que tu continues.— Ohé, Ohé ! Je ne réponds plus, mes lèvres et ma langue ont autre chose à faire ! Chloé se tord et gémit dans l’attente du plaisir. Et elle le crie, son plaisir, juste au moment où les garçons nous rejoignent et se plantent là, sans bouger. — Eh bien, on ne s’ennuie pas, les filles ! constate Julien. Je crois déceler un peu d’amertume chez lui. Je me redresse, les lèvres humides de cyprine. Chloé, les yeux fermés, halète, bras et jambes encore en croix de Saint-André. — Laissez-la récupérer, et faites de moi ce que vous voulez. Je me couche sur la mousse un peu plus loin, bras et jambes écartés. Thomas me regarde mais ne bouge pas. Julien semble fasciné par le pubis luisant de Chloé. Et c’est elle qui se redresse enfin, radieuse. — Oh merci, merci, Sophie ! Je veux te rendre tout le plaisir que tu m’as donné. Tout de suite elle se jette sur ma chatte, en entrouvre les lèvres de ses deux mains et lèche, lèche, débusque le clito et le fait vibrer, puis l’aspire. Remonte les mains pour ...

... venir me pincer les tétons. Le fait que les garçons nous regardent ajoute à mon excitation et je ne tarde pas à jouir à mon tour. Satisfaite, Chloé remonte pour poser ses lèvres sur les miennes. Échange de cyprine ! Julien se tripote l’entrejambe, sans doute pour mettre plus à l’aise ce qu’il a dans le slip. Tiens, Thomas aussi ! Mais ils ne tentent rien, ils se contentent de nous regarder faire, en silence. Alors nous nous rhabillons, Chloé et moi. Slip de bain et short pour elle, plus son haut de bikini et son chemisier que Thomas sort de son sac. Julien me tend ensuite mon soutif et ma chemisette. J’ai déjà remis jupe et petite culotte. Voilà, nous pouvons regagner la voiture. Au volant, Julien se mord les lèvres. Se tournant vers moi, qui suis à côté de lui : — Vous êtes disposées à vous passer de nous, désormais, je suppose ? J’éclate de rire. — Bien sûr que non ! Nous continuons à préférer les garçons ! Pas vrai, Chloé ?— Oui… Enfin… Elle s’avance, elle est assise derrière moi. Elle me chuchote : — Tu vas lui apprendre, à Thomas, cette nuit ? Oh non, finalement je préférerais qu’on reste seules, toi et moi. Une fille, ça sait mieux s’y prendre pour faire jouir une autre fille. Je t’en veux, oh je t’en veux de les avoir appelés, tout à l’heure, ces empotés… C’était bien, pour toi, quand je t’ai… caressée ? Je réponds par un hochement de tête. C’était bien, oui, mais je préfère quand même les garçons, moi. C’était bien, c’était comme avec Isabelle, il y a quelques années, ...