Christine VI : Midlife Crisis (9)
Datte: 08/06/2021,
Catégories:
Hétéro
Le lendemain matin, Christine ne me pose aucune question sur ma soirée de la veille. Habituellement, elle me demande au moins si j’ai passé une bonne soirée. Là, rien. Le week-end se passe plutôt bien. Nous allons skier le samedi après-midi et le dimanche, nous avons la visite de nos parents. En fin de journée, j’appelle mon ami qui vend son lit. Il m’envoie un mail avec les photos que je lui ai demandé. Le lundi matin, en arrivant au travail, j’envoie un message à Mélissa pour lui dire de passer dans mon bureau durant la matinée. Elle y entre une dizaine de minutes après. Nous sommes un peu gênés et ne savons pas tellement comment nous saluer. Un smack semble convenir. — Il faut que nous soyons discrets ici, Mel. — Je sais, ne t’en fais pas. Tu as passé un bon week-end ? — Mon vendredi soir était absolument délicieux. Le reste du week-end était… habituel. Et toi ? — J’ai des petites étoiles dans les yeux depuis vendredi. C’était trop parfait. Elle semble planer et j’en suis ravi. Je coupe un peu court à notre conversation intime car nous sommes au travail. — Viens de ce côté, il faut que je te montre quelque chose. Elle ironise : — Tu n’as pas dit que nous devions être discrets ? Je ris. Elle vient. J’ouvre le mail de mon ami. — Regarde. Un ami quitte son appartement et il doit se séparer de ce lit escamotable au plafond. — C’est quoi ce truc ? — C’est une structure fixée au mur qui permet de monter le lit au plafond durant la journée et de le baisser le soir pour dormir. ...
... Tu as assez de hauteur chez toi pour le fixer. Le lit fait deux mètres par deux. — Tu veux dire qu’il ne prend aucune place la journée ? J’ouvre une petite vidéo dans laquelle il descend le lit. — Il a installé son salon sous le lit. Le soir, il couche les coussins du canapé et descend le lit qui vient se poser dessus. Je ne sais pas comment est le fond de ta pièce avec la baie vitrée, mais ça pourrait être une solution. Mélissa ne dit rien, elle observe les photos et semble réfléchir à comment installer cela chez elle. Elle est penchée sur mon bureau et je pose la main en haut de ses fesses. Je les caresse doucement. Elle dit : — Oui, ce serait bien, mais ça doit coûter un max, non ? — Ecoute, mon pote est emmerdé avec ça, car il doit tout enlever avant la fin du mois, exigence de la régie. Si quelqu’un vient démonter la structure, il donne le tout. — Merde… Il faut que je trouve quelqu’un. Je vais appeler mon frère. Mélissa se redresse et s’appuie contre mon bureau, de biais par rapport à moi. Elle porte une jupe mi-longue marron et un chemisier beige en satin assez moulant. — Tu es très élégante et très belle, Mel. Ce chemisier te va à merveilles. Elle rougit et sourit avec douceur. Ses yeux brillent soudain et une larme tombe sur sa cuisse. — Ça me touche beaucoup… Elle ajoute : — Tout ce qui s’est passé vendredi… Je… Mélissa est très émue et je lui donne des mouchoirs. Elle se calme, souffle. — Nous en reparlerons… En privé… — Quand tu le souhaiteras. — Tu peux quand ? — ...