1. Christine VI : Midlife Crisis (9)


    Datte: 08/06/2021, Catégories: Hétéro

    ... hauteur impressionnante, on voit à des kilomètres. C’est fou. — Tu as encore un peu de temps ? Tu es encore motivé ? J’ai envie de tout révolutionner ici ! Nous vidons entièrement deux armoires. Rapidement, je remarque des minijupes et des robes assez sexys. Nous déposons les vêtements sur le canapé et la table à manger. Felipe passera le lendemain en fin de journée. Nous travaillons jusqu’à minuit et dégageons environ les trois-quarts du vitrage. Vidés de nos forces, nous nous affalons à même le sol, avec chacun une bouteille d’eau à la main. Mélissa murmure : — La douche ne va pas être de trop… — Je la prendrais chez moi, je n’ai rien pour me changer. Je me lève, m’essuie le visage et la tête avec une serviette déjà humide. Je remets mon blazer sur ma chemise trempée de sueur et je me dirige vers la porte d’entrée. Mélissa vient m’embrasser et m’enlace. Elle m’indique la pièce. — Je vais mettre le lit tout à gauche, le plus près possible de la vitre. Quand il fera beau, on viendra ici après le boulot et on fera l’amour au soleil couchant. — Je valide cette idée ! Nouveau baiser, je la pelote doucement avant de goûter à son sein droit. — Arrête, sinon je ne vais plus pouvoir me contrôler. Je ne stoppe pas, bien entendu, et Mélissa me caresse doucement l’entrejambe. Je la regarde, la tourne doucement contre le mur. J’enfile une capote puis je descends lentement son jogging puis son string. Je caresse ses fesses, sa ...
    ... vulve détrempée et odorante, puis j’y glisse mon sexe. Cette pénétration initiale est le seul passage doux. J’astique ensuite vigoureusement l’arrière-train de ma collègue qui, appuyée contre le mur, me regarde l’oeil lubrique par-dessus son épaule. Bouche ouverte, mâchoire serrée, son visage provocateur me fait redoubler d’ardeur. Aucun doute, la belle adore se faire baiser ainsi. Je tape sans ménagement contre son postérieur et jouis. Je me retire. Elle se tourne, la mine satisfaite, et m’enlève le préservatif. Elle m’embrasse. Je lui souris. Elle sait à quoi je pense : — Oh, mais tu ne me connais pas encore, mon cher ! — Je vois ça… Un tendre baiser. — C’est toi. Tu réveilles en moi des désirs enfouis, des pratiques presque oubliées. — Tu aimais comme ça ? — Un coup de rein en vitesse, deux minutes tout compris, j’adorais ça ! Elle éclate de rire. Je provoque : sykspe — Qui sait si dans quelques temps je ne te surnommerai pas "Miss Quicky" ? — Heu… Tu n’as pas dis que l’on devait être discrets au travail ? — Discret ne veut pas dire inactif. Elle sourit et ajoute : — Et un quicky, ça peut être une turlutte sous ton bureau… Je soupire en imaginant Mel en train de mon pomper à mon bureau. Un fantasme. Un dernier smack et je m’en vais. Dans la voiture, je suis aux anges. Mélissa est tellement inattendue. J’adore baiser cette femme grande et larges d’épaules et je sens que je ne suis pas au bout de mes surprises avec elle. 
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