Journal intime
Datte: 09/06/2021,
Catégories:
fh,
hsoumis,
fdomine,
pied,
Oral
fsodo,
journal,
tutu,
policier,
hsoumisaf,
Voilà maintenant un certain temps que je suis là. Dans le noir. Je ne saurais dire combien de temps, certainement des années. J’ai perdu la notion du temps. Je ne cherche même plus à savoir. Je me suis adapté. Il paraît que si on lui laisse le temps, l’être humain s’habitue à tout. C’est ce qui a dû se passer avec moi. Je me suis habitué à cette cave sombre, humide, où je ne sens même plus le froid. Je me suis habitué à ce lit, enfin, à ce sommier et à cette couette qui me servent de lit. J’ai oublié ce qu’était un vrai lit. Le temps passe vite. J’entends parfois des éclats de voix, en haut, en haut des marches où je guette, l’oreille collée à la porte. Surtout, je guette votre voix, maîtresse. Si vous saviez comme je vous aime, comme chacune de vos visites me comble de bonheur pour des semaines. Je vous aime, maîtresse. Vous êtes l’oxygène que je respire, l’eau que je bois, la nourriture que je mange. J’ai besoin de vous pour survivre. J’aime tant vous faire plaisir, maîtresse. Vous ordonnez, j’exécute. Dès que j’entends la clé dans la serrure, mon cœur s’accélère. Cela fait longtemps que je couche mes pensées sur ce journal intime, ce petit cahier de brouillon que j’ai trouvé par terre, entre deux cartons vides. J’ai peur qu’un jour, mon stylo n’ait plus d’encre et que je ne puisse plus écrire. C’est ma hantise. J’aimerais parfois vous offrir ce cahier, pour que vous sachiez comme je vous aime, maîtresse. Mais je n’ose pas. L’autre nuit, je dormais profondément lorsque ...
... j’ai entendu la clé dans la serrure. La porte s’est ouverte et vous êtes descendue lentement, telle une apparition divine. Oh ! Que vous étiez belle. Vous étiez toute vêtue de noir, pantalon et pull, les cheveux détachés. Une véritable déesse. Ma déesse. J’ai compris en voyant votre regard quelle envie vous aviez à ce moment précis. Vite, je suis sorti de mon lit pour vous laisser la place. Sans même un mot, vous avez baissé votre pantalon et votre culotte. Et vous vous êtes installée à quatre pattes sur mon matelas, me tendant votre si adorable cul. Dieu que c’était bon ! J’ai passé ma langue sur vos fesses, vous écoutant gémir, puis je l’ai pointée sur votre petit trou délicat, ravi de sa saveur. — Lèche. Un ordre réjouissant. Que j’ai exécuté avec ardeur, jusqu’à ce que vous ne puissiez retenir de petits cris aigus qui m’amenèrent au summum de l’excitation. J’aurais pu passer des heures ainsi, à vous prodiguer cette caresse. Oh ! maîtresse, comme j’aurais aimé que vous m’ordonniez de vous sodomiser. J’étais fin prêt. Mais après votre orgasme, vous vous êtes relevée et rhabillée sans un mot ni un regard. Je vous ai regardée monter, en silence, le sexe tendu à mort dans mon caleçon. Lorsque la porte s’est refermée, une plainte sourde me monta à la gorge. Une minute plus tard, six jets de sperme épais venaient s’échouer sur mon ventre. oooOOOooo Je me souviens à peine de ma vie avant. Qui étais-je ? Un mec ordinaire, un homme de main à la solde du parrain d’une triade locale, ...