1. Journal intime


    Datte: 09/06/2021, Catégories: fh, hsoumis, fdomine, pied, Oral fsodo, journal, tutu, policier, hsoumisaf,

    ... arrachant des frissons. Que c’est bon, maîtresse. Vos pieds sont les plus doux du monde. Une perfection dont je suis le seul à profiter. Vous êtes la plus belle femme de Hong Kong, non, du monde. Personne ne peut vous arriver à la cheville. Cela doit être dur, de gérer un gang entier. De se faire respecter. Peut-être avez-vous besoin de moi pour vous détendre. Pour vous évader. J’espère ne jamais vous décevoir. Je ferai tout mon possible. Parfois je fais des cauchemars. Je rêve que des flics ou des ennemis vous encerclent, maîtresse. Et vous tombez sous leurs coups de feu. Vous gisez sur le sol, morte, criblée de balles, votre beau visage inerte à jamais. Lorsque je me réveille, je hurle de désespoir. Un monde sans vous, j’espère ne jamais le connaître. Je préfère mourir. L’autre nuit, je ne trouvais pas le sommeil. Je suis remonté et j’ai constaté, à ma grande surprise, que ma porte était ouverte ! Je suis resté un moment pensif, à hésiter sortir. J’avais un peu faim. J’ai finalement passé la tête dans le couloir, il n’y avait personne. Parfois, vos hommes sont dans la cuisine, à jouer aux cartes et à fumer. Quand Jung est là, il me prépare un petit thé avec des petits gâteaux. Vraiment, je l’aime bien. Mais cette nuit-là, personne. J’ai arpenté les couloirs, silencieux comme un fantôme. Il n’y avait pas un bruit, et la cuisine était silencieuse. J’ai pris un peu de lait dans le frigo et un reste de fromage. Et là, j’ai entendu un bruit. L’oreille tendue, j’ai cherché d’où ...
    ... il pouvait venir. J’ai remonté le couloir, cela ne venait pas du salon, qui était désert lui aussi. Quand je suis parvenu à l’escalier, j’ai hésité. Je n’avais rien à faire là. Le bruit recommença, un peu plus fort. Un gémissement. On aurait dit votre voix, maîtresse. Pardonnez-moi, mais la curiosité a été la plus forte. J’ai monté l’escalier en silence, sur la pointe des pieds pour ne pas faire craquer les vieilles marches usées. Le cœur battant, je crois que j’avais peur, non pas de votre réaction, car celle-ci est toujours appropriée, mais j’avais peur de ce que j’allais voir. Une sorte de pressentiment s’insinuait en moi au fur et à mesure de ma progression. Je suis resté un moment dans le couloir, craignant de plus en plus d’avancer. Néanmoins, la curiosité fut la plus forte. Je collai l’oreille sur votre porte, les yeux clos, priant pour ne pas entendre… — Hmm… Votre voix, oh, ma déesse ! Rien qu’à l’entendre, je sentis le sang bouillonner dans mes veines. Ne pouvant me contenir, j’ai mis ma main dans mon caleçon pour m’emparer de mon sexe durcissant. — Ahh… Et je l’ai retirée. Une voix d’homme. Diverses émotions sont passées en moi : la surprise, la peur, la colère… Je sentis quelque chose se passer en moi, quelque chose d’énorme qui me comprimait la poitrine, une sorte de décharge électrique traversa mon corps… — Ahhhh !!! hurlai-je. Je me lançai de toutes mes forces contre la porte de votre chambre. Elle céda presque tout de suite, et emporté par ma force, je déboulai ...
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