1. Journal intime


    Datte: 09/06/2021, Catégories: fh, hsoumis, fdomine, pied, Oral fsodo, journal, tutu, policier, hsoumisaf,

    ... dont j’ai oublié le nom. Ce que je n’oublierai jamais, c’est le jour où, suite à la mort de votre père, si je me souviens bien, qui était un de nos rivaux, vous avez pris le pouvoir. Oh, maîtresse ! Quel jour ! Vous avez pris la tête de la triade, et avez entrepris de vous débarrasser de vos ennemis un par un. Je me souviens que mon patron chiait dans son froc. Personne n’osait se moquer de vous. Une femme à la tête d’une triade ! C’était de l’inédit ! Ce qui était inédit, c’est la fureur avec laquelle vous les avez éliminés. Quelle rage ! Quelle cruauté ! Quelle inventivité ! Je me souviens quand vos hommes et vous avez débarqué dans le bureau de mon chef. Nous n’avions pas eu le temps de fuir. Vos hommes ont tué mes collègues. Il ne restait plus que lui et moi. Et là, sous mes yeux… Ce que vous lui avez fait ! Oh, maîtresse ! Comme je vous aime ! Quelle patience ! Quelle barbarie ! Que vous étiez belle ! Le visage rouge, les yeux exorbités, recouverte de sang, tailladant sa chair avec ce rasoir, vous hurliez, vous baviez comme une bête en rut. Je bandais si fort, recroquevillé dans mon coin ! J’avais si peur, mais en même temps, je vous désirais si fort ! Comme j’aurais aimé vous prendre, là, nue sur le sol, devant vos hommes, avec le cadavre encore chaud de mon patron ! J’aurais aimé téter vos seins, boire votre cyprine, lécher vos fesses, m’enfoncer en vous ! Comme j’aurais aimé ! Je n’oublierai jamais ce moment où vos yeux se sont posés sur moi. Je me suis jeté à ...
    ... vos pieds en implorant grâce, j’ai même été jusqu’à embrasser vos chaussures pleines de sang. Vos pieds, dans ces escarpins, étaient ravissants. Le contact de ma bouche sur vos chevilles vous a fait frissonner, je l’ai senti. — Maîtresse ! ai-je hurlé. Gardez-moi près de vous ! Faites de moi votre esclave, maîtresse, je vous en conjure ! Deux de vos hommes ont ri. Vous vous êtes retournée vers eux et vous les avez tués avec votre arme. C’est à ce moment-là que je n’ai pas su me contenir, je me suis relevé, je vous ai pris dans mes bras, et j’ai soulevé votre t-shirt imbibé de sang, oh maîtresse, et là, j’ai pu admirer votre poitrine ferme, ronde, ce trésor de perfection prisonnier d’un soutien-gorge, que je me suis hâté de défaire. Aussi goulûment que possible, j’ai tété vos seins, j’ai passé ma langue dessus, je les ai aspirés, dévorés comme un enragé. Vos hommes, bouches bées, vous regardaient. Je me souviens de vos gémissements, je sentais votre cœur battre la chamade. C’était si bon ! Notre union venait d’être scellée. Dans la voiture qui nous a ramenés, nous étions à l’arrière, le chauffeur conduisait sans piper mot, et l’homme assis à côté nous regardait dans le rétroviseur. Je voyais la jalousie dans son regard. oooOOOooo Mais c’était il y a longtemps, ça. Très longtemps. Je ne sors qu’une fois par jour, le matin, pour me doucher. On m’apporte mes repas trois fois par jour. Quand j’ai besoin d’aller aux wc, je toque deux grands coups à la porte. Vos hommes semblent ...
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