Journal intime
Datte: 09/06/2021,
Catégories:
fh,
hsoumis,
fdomine,
pied,
Oral
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policier,
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... indifférents à ma présence. Ils se sont habitués. Je crois qu’ils ne font plus attention à moi. Il y a Jung, que j’aime bien, il a l’air d’un homme calme, avec ses lunettes et ses tenues impeccables. Il est gentil. Quand je suis là, planté dans la cuisine à vous contempler, maîtresse, il me sourit, mais pas avec pitié, comme certains, juste un sourire sans arrière-pensée, un sourire sincère. Je vous aime, Maîtresse. J’aime tout votre être. Votre beauté, vos grands yeux noirs, votre corps, votre sourire. J’aime le goût savoureux qu’ont vos seins. J’aime les délicieux effluves qui s’échappent de votre sexe lorsque je le caresse. J’aime vos pensées, vos tenues, j’aime tout. J’aime la sauvagerie dont vous faites preuve. J’aime lécher la sueur qui s’écoule de vos pores. J’aime votre odeur. J’adore renifler vos cheveux. J’aime lécher la nourriture que vous mettez sur votre corps. J’adore téter vos seins lorsque vous déposez un peu de confiture sur les mamelons. Oh Maîtresse, que je vous aime ! Je ferai tout ce que vous me dites de faire. Parfois, vous êtes fâchée, contrariée ou préoccupée. Vous venez alors me voir, dans la cave. Parfois, vous vous asseyez au bord des marches et vous ne dites rien. Je m’installe près de vous et je vous prends dans mes bras, je vous serre contre moi, comme un mari serrerait sa femme contre lui. Je vous caresse le visage, lentement, pour vous apaiser. Une fois, vous vous êtes endormie. C’était merveilleux. Je n’oublierai jamais ce souvenir. D’autres ...
... fois, vous êtes si enragée que vous tournez en rond comme une panthère dans une cage. Lorsque c’est comme ça, je reste allongé sur mon lit, à vous contempler, cherchant ce qui vous enrage autant. Si la colère vous consume à un tel point que vous vous mettez à hurler de rage, je sais quoi faire. Une fois, vous étiez si folle de rage que vous vous êtes jetée sur moi pour me bourrer de coups de pieds. Trois côtes cassées. C’était terrifiant. J’avais peur, mais en même temps, mon amour pour vous s’amplifiait à chacun de vos coups. — Salopard ! hurliez-vous. De quel droit osez-vous me tenir tête ?? De quel droit ??? Je n’ai jamais su de quoi vous parliez. Vous êtes remontée sans un regard pour moi, alors que j’étais presque évanoui. Parfois, vous êtes de très bonne humeur, et vous me laissez passer la journée à vos côtés, dans la maison. Je vous suis comme votre ombre. Je reste à vos côtés. Vous vous installez dans votre fauteuil, face à votre ordinateur. Il n’y a que vous et moi dans la pièce, dans ce grand bureau confortable et douillet. Vous ôtez vos chaussures et vous laissez vos adorables pieds à l’air libre. Je m’installe à genoux près de vous, je prends vos pieds dans mes mains, je les masse délicatement, je les effleure de mes doigts, comme vous aimez. Je vous regarde parfois, je vous vois vous mordre les lèvres, concentrée sur votre écran. À ce moment, je me baisse pour vous lécher les pieds, des mollets à la plante, avant de sucer tendrement vos orteils un par un, vous ...