1. Journal intime


    Datte: 09/06/2021, Catégories: fh, hsoumis, fdomine, pied, Oral fsodo, journal, tutu, policier, hsoumisaf,

    ... en plein dans la pièce. Et ce que je vis me glaça le sang. Vous, maîtresse. Ma passion, ma raison de vivre ! Nue, dans ce lit, à quatre pattes, le nez dans l’oreiller ! Et ce type, ce merdeux, ce déchet à forme humaine en train s’enfoncer en vous à toute allure ! Il osait vous toucher ! Il osait toucher votre peau, respirer votre odeur ! Il osait ! IL OSAIT !!!! Il a jeté vers moi un regard étonné. Vous, vous m’avez regardé sans émotion. Vos grands yeux dans les miens. — Non !!! hurlai-je en me précipitant vers lui.— Putain, mais c’est quoi ce taré ! a-t-il crié, visiblement très surpris.— Je t’interdis de la toucher ! Jamais ! Personne ! Personne !!! Non ! Non ! Jamais !! Je ne me souviens pas bien de la suite, maîtresse. De vagues images. Je me souviens du sang sur mes mains, de la chaleur de sa chair… Mais c’est tout. Quand j’ai repris mes esprits, mes mains étaient gluantes de sang, et lui n’était plus en un seul morceau. La chose dont je me souviens, c’est votre regard. Cette admiration. Je me suis jeté à vos pieds, alors que vous étiez encore nue, couverte de sueur, et je vous ai suppliée : — Maîtresse, pitié, je ne le supporterai pas ! Plus jamais ! Vos mains ont glissé dans mes cheveux. — Par pitié, maîtresse, par pitié. S’il vous plaît. Sans un mot, vous m’avez fait relever, et vous m’avez balancé sur le lit. Et vous vous êtes jetée sur moi, dans mes bras, nos deux corps collés l’un contre l’autre, souillés de sang et de sueur. J’ai embrassé votre front, votre nez, ...
    ... vos joues, j’ai glissé ma langue dans votre bouche, j’ai léché vos lèvres, oh maîtresse, que c’était bon ! Vous aussi, vous m’embrassiez. Des coups ont retenti à la porte, sans doute vos hommes, affolés par les cris de l’autre tas de merde. — Madame ! Madame ! Tout va bien ! Madame ?— La ferme ! avez-vous hurlé. Tirez-vous ! Sans perdre une seconde, j’ai baissé ma tête et vous vous êtes redressée pour que votre merveilleuse poitrine se trouve devant mon visage. Comme si ma vie en dépendait, j’ai tété vos mamelons frénétiquement, je les ai aspirés, mordillés, léchés comme un fou, sentant votre souffle s’accélérer, vos gémissements devenir de plus en plus intenses. — Il vous l’a fait, ça ? vous demandai-je. Vous m’avez giflé de toutes vos forces. La passion me consumait littéralement. Je vous ai prise dans mes bras, ma bouche toujours collée à vos seins, et je vous ai retournée dans le lit pour me retrouver au-dessus de vous. Mes mains sont descendues sur votre ventre, et vous avez immédiatement ouvert les cuisses. Sans cesser une seule seconde de vous dévorer les seins, j’ai enfoncé trois doigts en vous, dans votre sexe humide et brûlant, que ce salaud avait souillé. — Et ça, il l’a fait ? vous demandai-je, craignant à la fois la réponse et la désirant. Encore une baffe, cinglante, la douleur me mit les larmes aux yeux. Mais mon érection devint encore plus forte. — Il m’a tout fait, m’avez-vous dit enfin, plantant votre regard dans le mien. Tout, tu m’entends !— Espèce de pute… ...
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