1. DES REVISIONS ET DES DECOUVERTES 2


    Datte: 30/06/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Suite à cet épisode érotico-récréatif, ou, je le rappelle, j’avais découvert la belle Valérie sous un jour plus sensuel encore que je ne l’imaginais., je pensais avoir fait un grand pas, et, dans un raisonnement légèrement macho, mais romantique, espérais que ses faveurs étaient l’expression de son amour pour moi. Je m’étais trompé, en partie, et les jours qui suivirent, nos relations, pendant et entre les cours restèrent , sinon distantes, au moins sans évolution notoire. J’essayais de lui parler à plusieurs reprises, mais elle était souvent entourée d’un groupe de copines, et je ne voulais pas qu’elles soient témoin de nos échanges. Le vendredi suivant, nous avions education sportive, toute la matinée, et nous rendions sur des installations, a l’extérieur de la ville. Les filles étaient séparées des garçons, mais le trajet en bus était mixte. Je profitais de l’occasion pour m’engouffrer derrière elle , dans le car, en jouant un peu des coudes, et vint m’asseoir près d’elle. Valérie, ne parut pas étonnée : « Salut toi, ça cà ? me dit elle, en me claquant une bise sur la joue » J’en profitais pour saisir discrètement sa main. « ça va, mais ça te dirait de réviser avec moi ce midi ? » lançai-je en serrant sa main. Elle pencha la tête et baissant le ton. « Réviser quoi ? l’anatomie ? » « entre autres, lui répondis-je (toujours spirituel) « Ou devrai-je dire, mon anatomie, murmura t’elle en faisant glisser nos mais jointes, entre ses jambes » « pourquoi ne pas méler l’utile à ...
    ... l’agréable, et unir nos connaissances ? » « j’ai l’impression que tes connaissances, sont un rien moins évidentes que les miennes » glissa t’elle « Tu verras, j’apprends vite, et tu pourrais être surprise » « Nous verrons donc, conclut, elle. Disons 12h30. Tu connais l’adresse ? » Je ne jugeai pas utile de répondre, et la remerciai d’un regard, en quittant ma place, car nous étions arrivés. A la sortie du vestiaire, Liam, un des mes meilleurs potes, d’origine américaine, me chambra gentiment. « dis donc, ça a l’air d’aller avec Valérie » « oui, on s’entend bien » éludai-je « ce n’est pas d’oreille que je parlais » dit il en me tapant dans le dos, prouvant qu’il maitrisait les subtilités du français, malgré son accent. Après un footing de plusieurs kilomètres, le temps n’étant pas au beau, certains optèrent pour un basket, et je choisis le volley ball, plus dans mes cordes. Pendant près de deux heures, je me concentrais sur le jeu, mais je profitais d’un changement pour quitter le terrain un peu plus tôt, et passer plus de temps à la douche. Je voulais faire bonne impression. Lavé, coiffé, parfumé, je pris le bus du retour, pestant intérieurement contre les basketteurs, qui n’ayant pas su s’arrêter à temps, avaient sauté la douche et répandaient dans l’air une odeur de transpiration qui, me semblait il allait se déposer sur moi. De retour au lycée, je me dépéchais d’aller avaler vite fait un plat à la cantine. Je cherchais Valérie des yeux, mais ne la vis point. Elle déjeunait ...
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