1. DES REVISIONS ET DES DECOUVERTES 2


    Datte: 30/06/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... marque » « j’habite à la montagne, et mes parents ont une piscine . Quand nous y sommes nous sommes tous nus » « tes parents aussi ? » « oui, on a toujours fait ça. Mais pas question de s’exhiber à la plage devant du monde. » « Parfois, je ne mets pas de soutif, mais ça dépend. » « de quoi ? » « des gens avec lesquels je suis » « ? » « C’est au feeling, il faut que je me sente à l’aise. Je ne suis pas vraiment pudique, sauf si je sens des regards malsains « « par exemple ? » « tu vois la cour intérieure ? regardes bien la deuxième fenêtre à gauche, à l’étage au dessus » « C’est une fenêtre de salle de bains » « exact, c’est celle de mon proprio, et elle est souvent ouverte » « Il te mate ? » « assez souvent oui. » « la il nous a vu » « non, le lit, je l’ai placé pour qu’il soit au fond de la pièce dans un angle mort, mais dès qu’on approche du bureau, il voit tout. » « mets des rideaux ! » « J’y ai pensé, au début, mais je n’ai pas pu m’empêcher de lui dire d’arrêter de mater mon cul. Finalement, on a discuté. C’est un petit vieux, voeuf. Oh, il se faisait bien des idées, mais je lui ai fait comprendre que je ne faisais pas dans les vieux. Il m’a demandé, juste de ne pas mettre de rideaux, pour qu’il puisse me voir. Ça lui rappelle son jeune temps, dit il. Je pense surtout qu’il est encore un peu vert, et doit s’astiquer en me matant. » « et ça ne te fait rien ? » « bof, ça gène qui ? et puis, j’ai un des loyers, les moins chers du centre ville, parce que, du coup, il me ...
    ... fait un prix. Mes parent me donnent l’argent du loyer, et j’en garde la moitié, qui me sert pour mes sorties. » « Je comprends mieux ». Mes mains effleuraient ses hanches pleines, et nos caresses mutuelles, privilège de la jeunesse qui a les hormones en bandoulière, produisaient un effet qu’elle ne manqua pas de remarquer. « On dirait que tu es en regain de forme, me murmura t’elle , mutine en empoignant ma verge. » Elle se leva, me tirant par la queue, et après avoir écarté la chaise, vint se plier, les coudes sur le bureau, le cul tourné vers moi, jambes écartées. Je comprise ce qu’elle voulait, mais ne pus m’empêcher d’aviir un mouvement de recul. « Oui mais là, il va nous voir » Elle se tourna vers moi avec un sourire ; et me dit « n’y penses pas, ou dis toi que tu fais ta B.A » Elle passa son bras entre ses jambes et saisit mon sexe qu’elle vint enfoncer dans le sien. Je commençai à la limer un peu timidement, mais elle saisit mon bras droit et vint le poser sur son sein que je crochais aussitôt. Elle accentuait mes mouvement de hanches et venait elle même au devant de chaque poussée, jusqu’à ce que mon ventre claque contre son cul. Le tempo, et la matrice aux muscles chauds me firent oublier la situation et je la pris de plus en plus fort. Levant les yeux , je devinais une tête a la fenêtre d’en face, tout en labourant Valérie. Partant des hanches , une de mes mains vint englober sa fesse et se dirigea vers son petit trou que je forçais avec mon pouce. La belle s’agita ...