1. DES REVISIONS ET DES DECOUVERTES 2


    Datte: 30/06/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... parfois dans son studio. Je décidais donc d’y aller sans perdre de temps, et cinq minutes plus tard je sonnais chez elle. Elle mit assez longtemps à répondre, et sans attendre que je me présente, me dit : « monte, la porte est ouverte » Je grimpais les deux étages et trouvais la porte entrouverte. J’entrais dans la pièce principale, mais Valérie n’y était pas. J’entendais couler l’eau dans la salle de bains. Je refermais la porte, qu’elle dut entendre, et me cria. « installes toi, j’arrive. Je déposais ma veste sur un dossier de chaise, et m’assis sur le lit. L’eau s’arrêta de couler, et quelques instants plus tard, Valérie sortit de la salle d’eau, vétue d’un peignoir éponge blanc qui tranchait sur sa peau mate. « tu es bien pressé, dit elle dans un sourire. J’ai juste eu le temps de me doucher. J’aime bien passer du temps sous l’eau, après la gym » Ses cheveux chatain clair, coupés court, étaient encore mouillés, et gouttaient sur le peignoir. Elle vint s’asseoir à côté de moi, et se frotta vigoureusement la tête avec une serviette, faisant saillir sa poitrine dans l’échancrure du peignoir qui s’écarta, et dévoila une longue cuisse brune, presque jusqu’à la taille. Je ne pus m’empècher d’y poser la main, d’abord sur son genou, puis, je remontais, faisant courir mes doigts, jusqu’au croisement des deux pans de tissu. Valérie jeta sa serviette, et se pencha vers moi pour m’embrasser. Un baiser long et frais, les pointes humides de ses cheveux, venant chatouiller mes joues ...
    ... et mon cou, tnadis que nos langues se mélaient en une danse lascive. Je défis le nœud de son peignoir, et remontant au niveau de ses épaules, en écartais les pans pour la déshabiller complètement. Elle dégagea ses bras, et s’étendit sur le peignoir, entièrement nue. Je caressais son corps ferme et halé, et me penchai pour l’embrasser, je posais des baisers sur son cou, et descendis sur ses seins fermes et souples, à la fois, que je palpais des doigts, tantot les léchant, tantôt suçotant, ou mordillant des tétons érectiles. Glissant dans le sillon entre ses obus, je suivais son ventre, m’attardant pour agacer son nombril avant de continuer vers son mont de vénus, alors qu’elle maintenait sa main derrière ma tête, ébouriffant mes cheveux. Je survolais le ticket de métro soigneusement dessiné que je caressais d’un suffle chaud, avant de plonger sur la fourche de ses jambes, qui s’ouvrirent pour me laisser l’accès à sa fente, déjà entrouverte. Je la suivis de bas en haut, écartant ses lèvres délicates, pour venir faire sortir son bouton d’amour, que je tétais, en alternant des incursions de ma langue de plus en plus profond dans son antre. Au fur et à mesure, de mes attentions, elle m’encourageait, me guidait de ses mains, autour de mon visage, en gémissant de plus en plus fort, son bassin montant de plus en plus impatiemment, réclamant toujours plus. J’entrepris, sans cesser de la lutiner, d’introduire un doigt, puis deux, dans son vagin, qu’elle accueillit d’un Ouiii soulagé. ...