1. DES REVISIONS ET DES DECOUVERTES 2


    Datte: 30/06/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Passant ses jambes par dessus mes épaules, j’imprimais à mes doigts, un mouvement de va et vient. Mes doigts actifs, j’en profitais pour lécher le périnée jusqu’à son petit trou étoilé, cette vallée déjà irriguée par ses sécrétions. De ma langue, je caressais les abords de ce petit trou, puis j’introduisis progressivement un doigt de mon autre main. Ma position n’était pas des plus confortable. Je décidais alors de n’utiliser que ma mains droite, l’index et le majeur dans sa chatte, et l’annulaire, dans son anus. Valérie se cabra comme pour fuir, mais elle se détendit aussitôt, et se projeta sur mes doigts, qui furent bientôt complètement avalés. Mon auriculaire, vint naturellement compléter la porte de derrière, et, je commençai à la pistonner de mes doigts, ma bouche passant devant pour attraper son clito. « Oui, c’est bon comme ça !, n’arrête pas ! accélère, viens, viens » La sarabande éfrenée dura jusqu’à ce qu’elle s’arrête d’un coup, et pousse un râle rauque, puis un soupir, ses jambes desserrant ma tête, vinrent se reposer sur le lit, largement ouvertes, comme une invitation que je ne pouvais refuser . Je remontais le long de son corps, et vint me positionner, ma queue trouvant instantanément le chemin de sa grotte. Je l’embrassais, lui faisant gouter au passage, son propre jus, tandis qu’elle remontait les genoux pour mieux m’acceuillir. En quelques coups de reins, je fus au fond de sa matrice, et la besognai avec entrain, mais après quelques allers et retour, elle ...
    ... se déroba et me fit mettre sur le dos. Là, elle revint m’enjamber, et s’empala de tout son poids sur mon vit. Elle commença a monter et descendre, de plus en plus vite sur moi, qui empoignai ses seins, et les malaxai, les pinçai les triturait provoquant ses onomatopées expressives de son plaisir. Sentant venir son plaisir, elle se redressa, et debout sur ses genoux, continua son periple « viens, caresse mon clito » dit elle en amenant ma main vers sa chatte. Je titillais le bouton, maintenant très dur, le frottant du bout des doigts à chaque mouvement, et elle entama un mouvement d’avant en arrière sur mon ventre, qui m’excita tant que je sus que j’allais bientôt jouir. Je résistais du mieux que je pus, mais alors qu’elle atteignait la jouissance, dans un nouveau râle, je sentis mon sexe, comme exploser en elle, et me déversais longuement dans sa chatte. Elle vint ensuite se blottir dans mes bras, et nous mimes quelques temps à redescendre, nos corps couverts d’une fine couche de sueur. Valérie se dégagea, ensuite et se releva, pour aller chercher ses cigarettes. Elle en alluma une , et nous fumâmes ensemble, allongés côte à côte, les yeux perdus vers le plafond, repus et heureux. Après la cigarette, nous échangeâmes des caresses, sur un mode plus doux, plus patient, explorant mutuellement nos corps. J’adorais ses fesses, fermes et hautes, bronzées comme tout le reste de sa personne. « Tu es naturiste ? » lui demandai-je « non Pourquoi ? » « tu es bronzée et sans la moindre ...