Éducation
Datte: 09/06/2021,
Catégories:
fff,
inconnu,
magasin,
fsoumise,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
sm,
journal,
Résumé de l’épisode précédent : «Histoire de Colette » Un récit tiré d’un journal intime : mal dans sa peau et désœuvrée, une femme mûre entre impulsivement dans une boutique de luxe ; elle tombe sous le charme d’une notable qui lui impose sa volonté. ________________________ Je n’ai pas le sexe discret, je le sais bien. Ma vulve est charnue, mes lèvres bien apparentes. J’avais surpris une fois ou deux des remarques échangées entre les infirmières, à la clinique. Le terme de « babines » employé à l’égard de ma morphologie sexuelle m’est revenu en mémoire. Penser que Madame Ève, cette femme si distinguée, et dont j’étais entichée, pourrait formuler la même comparaison me fut insupportable. Je refermai brutalement les cuisses pour lui cacher l’objet de mon déshonneur. — Vous me décevez, Colette, remarqua-t-elle. N’avez-vous pas promis tout à l’heure que je n’avais qu’à dire ce que je souhaitais pour que vous le fassiez pour moi ?— …— Oui ? insista-t-elle.— …— Alors, levez-vous. Je veux voir l’effet de ces bas sur vos jambes. Ce n’est pas trop mal, mais il serait plus sexy que les dentelles de la lisière puissent apparaître quand vous marchez. Écartez donc un peu plus le bas de la robe. Je lui fis remarquer qu’il faudrait pour cela que ma robe soit ouverte par-devant jusqu’au ventre, et que dans ce cas mon pubis nu serait visible… Ce qui me paraissait aussi évident qu’indécent ne sembla pas la convaincre. — Uniquement si vous aviez l’idée stupide de tenir les pans avec vos ...
... mains, et d’ailleurs autant vous habituer tout de suite à vous montrer si je vous le demande, affirma-t-elle. Si vous voulez me plaire, vous ne mettrez plus de culotte à partir d’aujourd’hui.— Mais…— Les fesses nues, c’est parfait pour la peau. Vous les poserez directement sur les sièges en vous asseyant, en voiture comme autre part. Essayez donc dès maintenant, m’ordonna-t-elle en me désignant un tabouret à l’extrémité du rayon. Je ne sais toujours pas pourquoi j’ai obéi. Quand j’eus rapporté docilement l’objet, elle m’expliqua que je devais relever ma robe par-derrière avant de m’asseoir. Elle écarta d’un haussement d’épaules dédaigneux mes remarques timides sur le risque de montrer mes fesses si quelqu’un regardait vers nous. — Sans doute, et même certainement, ironisa-t-elle, car vous pouvez être sûre que les chalandes des alentours vous observeront. Mais c’est ainsi, et pas autrement, que vous devez procéder. Faites-vous à cette idée. Je fis surtout aussi vite que je pus pour en dévoiler le moins possible, et cette hâte indisciplinée la contraria. La peur qu’elle ne mît fin à notre rencontre me saisit lorsqu’elle me toisa. C’était incompréhensible, mais je tenais à prolonger cette relation, et même à renforcer nos liens. La mine contrite que j’affichais pour implorer son indulgence eut le bonheur de l’inciter à sourire et elle se contenta, pour cette fois, de me réprimander vertement. — J’exige une obéissance immédiate et absolue, Colette, sinon je me désintéresserai de vous ...