Éducation
Datte: 09/06/2021,
Catégories:
fff,
inconnu,
magasin,
fsoumise,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
sm,
journal,
... frotter sur ma bouche. J’ai levé les yeux vers le haut et j’ai entrevu ses cuisses. C’est vrai que les bas sans porte-jarretelles, quand ils sont de la qualité de ceux qu’elle portait, donnent une élégance particulière aux jambes. Dans l’ombre de la jupe, la lisière des bas se devinait à peine. La transition entre la soie et la peau se voyait seulement par le changement de nuances, sans les bourrelets qui se forment la plupart du temps à cause des élastiques. Pour dire vrai, j’ai repensé à cela après, car sur le moment j’ai baissé instinctivement les yeux pour ne pas avoir l’air d’être indiscrète. Ève m’a présenté l’autre cheville en me complimentant à mi-voix sur la douceur de ma caresse. Elle a ajouté qu’elle aurait beaucoup de plaisir à se faire lécher par moi sur ses seins et sa chatte. — Vous serez parfaite en soubrette, Colette, pour vous occuper de moi à la ville et à la toilette, a-t-elle conclu en souriant, mais pour l’heure reprenez votre place sur le tabouret, fesses nues sur le siège et genoux écartés : prenez la largeur de vos épaules comme référence. Je me suis rassise docilement et je me suis appliquée à mettre mes genoux ouverts à la largeur de mes épaules. Les pans de ma robe ont un peu glissé sur mes cuisses, comme je le craignais. Dans cette position, je sentais la fraîcheur de l’air sur mon sexe, les chatouillis des coutures sur ma peau et la douceur tiède du velours sous mes fesses. Paradoxalement, j’étais bien, sereine, heureuse même d’attendre les ...
... prochains ordres de ma belle notaire. Elle a levé un pied juste assez haut pour que je devine à nouveau son entaille lisse pendant que du bout de sa mule elle élargissait l’ouverture du bas de ma robe jusqu’à ce qu’elle retombe de chaque côté de mes hanches. J’étais quasiment nue des pieds au pubis. Ma touffe broussailleuse faisait une motte sombre entre mes cuisses. Telle quelle, d’autres femmes qu’Ève devaient l’apercevoir. Elle m’a interdit de me refermer afin de pouvoir m’examiner à loisir. Les bas qui embellissaient mes jambes rendaient ma pose encore plus impudique. La honte qui m’envahissait se mélangeait à un émoi sexuel dont les effets réchauffaient sournoisement mon intimité. La poitrine déjà haletante, j’attendais son verdict. * * * Qu’on me comprenne bien : je ne suis pas une oie blanche. Depuis quinze ans, comme je l’ai dit, j’avais exploré pas mal de chemins sur la voie de ma sexualité. Quelque part en Bretagne, dans mes débuts, je m’étais retrouvée un jour offerte comme cadeau par une nièce à sa tante, homosexuelle notoire, qui fêtait ses soixante-dix printemps. J’avais passé tout le repas d’anniversaire, nue sur la table à laquelle je servais de nappe. Pour le dessert, au lieu de souffler ses bougies, la dame m’avait lutinée avec tant de science et de douceur que j’ai goûté là l’un de mes plus merveilleux orgasmes. Éperdue de reconnaissance, je l’avais à mon tour gougnottée de toute mon âme sous les yeux attendris de ses invitées, et surtout de sa tendre nièce qui, ...