Hélène, ma femme ; Yasmina et moi - Histoires de Sexe

Hélène, ma femme ; Yasmina et moi

... maison. Hélène l’accueillit et me présenta. — Vous étiez présent au bar l’autre jour, non ? Vous êtes beau gosse, me dit-elle.— Exact, merci, lui répondis-je. Elle laissa tomber son long manteau à même le sol et se dirigea immédiatement vers mon épouse. Pas temps à perdre, apparemment. Il est vrai qu’elles s’étaient déjà pas mal échauffé les esprits épistolairement au cours de ces deux dernières semaines. Les voir se dévêtir fut déjà tout un spectacle ! En découvrant leurs poitrines et leurs croupes respectives, Yasmina ne put s’empêcher de se coller à Hélène et de lui caresser les seins et le bas du dos. Tandis que ma femme, quant à elle, la prit par la taille de ses mains afin de juger déjà de la prise qu’elle aurait quand elle la baisera« doggystyle ! » Elle parut très satisfaite et m’adressa un clin d’œil. Je sus à ce moment que Yasmina aurait ce qu’elle était venue chercher. Un con bien défoncé ! Elles installèrent dans le canapé, très près l’une de l’autre. Simplement vêtues de leur ensemble lingerie trois-pièces, bas noirs transparents, escarpins à petits talons et gants mi-bras noirs. Elles poursuivirent l’exploration de leur corps en se caressent mains gantées, se bécotant la nuque, s’embrassant à pleine bouche, l’entrouvrant de temps à autre tout en pointant la langue en dehors pour se la faire suçoter délicatement. Tout comme elles le font à un clitoris généreux en taille. Ma femme ne put s’empêcher assez rapidement de glisser une main entre ses cuisses et de se ...

... frotter la motte du plat de la main. Trouvant Hélène éprouver quelques difficultés à se branler correctement, Yasmina prit l’initiative de la dégager de son slip. Ma femme joignit alors les pieds et ouvrit les genoux, maintenant sa petite culotte bien tendue entre eux. Une auréole plus foncée y était apparente à l’entrejambe. Yasmina y passa un doigt et le porta à sa bouche. Hélène — Ne t’en fais pas, ma chérie, je t’en donnerai bien plus tout à l’heure. Yasmina — J’y compte bien, je suis là pour ça ! Hélène — À défaut de foutre ! Tu es une salope et cela me plaît énormément, tu sais. Tout en regardant intensément Hélène, Yasmina se caressa le mont de Vénus que délimitait bien son sombre duvet frisé ; tandis que ma femme, confortablement installée maintenant pour se faire, continuait à se manuéliser délicatement. La beurette prit alors de sa main libre le petit vibro d’Hélène et entreprit de le lui passer sur le clitoris. Celle-ci se laissa faire, le dégageant au maximum à l’aide de deux doigts ; laissant sa virgule tendue à son maximum vers le jouet. La séance dura dix bonnes minutes. Hélène se branlait de la sorte assez régulièrement, parfois avec mon aide. Son orgasme fut intense et lui arracha quelques gémissements… Yasmina, ne perdant pas le nord, s’agenouilla alors devant mon épouse, lui releva les jambes, passa la tête sous la culotte et enfouit sa langue dans la chatte le plus profondément possible, n’oubliant pas au passage de faire disparaître le fin filet de mouille ...