Hélène, ma femme ; Yasmina et moi - Histoires de Sexe

Hélène, ma femme ; Yasmina et moi

... qui s’était écoulé jusqu’à l’anus de ma chère et tendre. Constatant le plaisir non feint de ma femme à cette délicate attention, Yasmina la fit venir encore une fois en lui donnant, encore et encore, de vigoureux coups de langue dans le cul… Une seconde coulée ne manqua pas d’apparaître, elle la lapa tout aussi avidement… Deux orgasmes dans un intervalle si rapproché, Hélène rayonnait ! Un vrai soleil ! Hélène — Tu devrais essayer avec Yasmina, chéri. Sa langue est bien plus longue et raide que la mienne. Je suis persuadée qu’elle parviendra à te faire jouir de la sorte. Tes coups de langue sont puissants, ma chère ! Yasmina — Très, je sais. Mais je ne touche pas aux messieurs ! Rappelle-toi. Hélène se para alors d’une ceinture-gode muni d’un appendice de belle taille, ce qui eut l’air de ravir grandement l’autre ; la fit se mettre à quatre pattes puis lui signifia de poser les bras sur l’accoudoir du canapé et de s’y agripper, cuisses écartées, dos bien cambré. Sa vulve était déjà ouverte, luisante, presque suppliante, pourrait-on dire… De par ce constat, Hélène ne jugea pas nécessaire de lubrifier le gode, enserra fermement de ses mains les hanches de la jeunette et commença par la baiser lentement et progressivement de sorte qu’elle puisse voir la mouille de sa partenaire se déposer de plus en plus loin sur le gode, jusqu’à la garde. Vision qui la fait presque défaillir ! Tout le gode dans sa connasse, sans qu’elle ne bronche. Que du contraire, Yasmina tendit encore plus ...

... fort les reins ! Hélène, elle, n’avait jamais pu se prendre celui-là en entier. Ma femme — Regarde mon lapin, comme je la fourre à fond cette gouine ! Tu as un visage d’ange, mais quelle pute tu fais ! Je sens déjà l’odeur de ton jus, garce ! Yasmina, en tournant la tête vers sa maîtresse — Je te l’ai dit, cela fait longtemps que je n’ai plus pris. C’est bon d’y goûter à nouveau. Ma femme — Ma chérie, je t’adore et je vais te donner ce que tu réclames. Un fou rire général nous pris. Que du bonheur ! Observant tout ce manège depuis le début, le lapin en question commençait à frapper furieusement le sol de ses pattes arrière et dut pincer la base de sa verge à maintes reprises pour interrompre un coït imminent ! De temps à autre, pendant cette mise en condition, Hélène se retirait, écartait les fesses de son amie, lui humectait l’anus, le titillait de la pointe du gode, le faisait y entrer et sortir peu profondément afin de dilater et fermer sa rondelle délicatement. Procédure qui eut le don de faire geindre Yasmina à chaque attouchement. Hélène l’amena alors à l’orgasme en la baisant et fessant énergiquement, son ventre claquant sur ses fesses à chaque mouvement, le gode presque entièrement rentré à chaque coup. Yasmina soutint ce traitement cinq bonnes minutes avant d’exploser de plaisir ; s’écroulant à même le sol les cuisses serrées l’une contre l’autre. Son corps tout entier n’était que tremblements pendant en long moment. Ma femme, le regard perdu, resta sur les genoux, ...