1. La pute et le troglodyte


    Datte: 08/11/2017, Catégories: fh, hagé, prost, voiture, amour, Oral pénétratio, fsodo, humour,

    ... résigne enfin lorsqu’il constate qu’elle n’a plus de répondant. Il s’inquiète : — Ji ti fais du mal, m’moiselle ?— Pas du tout, pas du tout, au contraire, dit-elle du bout des lèvres. Elle se ressaisit rapidement et se dit en elle-même qu’elle est avant tout une professionnelle, et que c’est lui qui a payé et non pas elle ! — À toi maintenant, lui dit-elle en se redressant, sa main allant chercher directement la braguette. Un regard sur la pine déjà bien raide, un autre sur le bulbe incandescent. Rien d’exceptionnel à part le rouge vif dont elle s’est revêtue. Mais il y a plus étonnant : une seule bourse. Elle rigole. — Où est l’autre ?— On m’l’a enlevée à cinq ans, m’moiselle, mais ji nique bien, je vous assure, j’ai cinq enfants m’moiselle, Bourguiba aussi a une seule couille.— Je te crois mon grand, je te crois, on va voir ça ! Elle rapproche la tête et souffle doucement en sa direction en laissant échapper un léger chuchotement, juste de quoi provoquer un petit battement de la tige et entendre un « ouiiiii », il ferme déjà les yeux et balance sa tête en arrière. Des petits coups de bout de langue par ci et par là, un baiser sur le gland circoncis, et deux doigts qui coulissent tendrement le long du concombre. Elle s’occupe de la couille solitaire et lui donne la part de deux, l’enduisant de salive, la mordillant légèrement et feignant de lui arracher par les dents quelques poils mal dressés. Puis soudain, comme une tigresse qui trouve sa proie, elle gobe le tout, ...
    ... l’enfonçant au fond de sa gorge. Quand elle commence à coulisser tendrement ses lèvres sur la hampe rigide, il se sent envahi par une impression de bonheur qu’il n’a jamais connue, une sorte de fraîcheur printanière l’enrobe et lui fait défiler quelques souvenirs clés de sa sexualité, à commencer par sa première éjaculation nocturne en rêvant de sa prof de français entrebâillant ses jambes. C’était une belle française mariée à un villageois de Tataouine, la quarantaine, chic et classe. Il s’était toujours demandé ce qu’elle foutait dans ce trou de troglodytes, ce qui lui plaisait dans ces têtes poisseuses et ces pieds fêlés. Elle portait des jupes qui s’ajustent au milieu des genoux laissant voir des mollets gracieux et abondants, légèrement tracés de nervures. Parfois en classe, lorsqu’elle était assise et qu’il était bien placé pour avoir une vue en ligne directe sur ses jambes par dessous la table, il arrivait à voler quelques images de la naissance de ses cuisses. Pour ce faire, il restait attentif, attendant le moment où elle croisait les jambes, et là, en ce moment furtif où une jambe se lève, il prenait sa photo mentale, avant l’atterrissage sur l’autre jambe et la fermeture du champ. Parfois aussi elle se laissait distraire et lâchait le frein qui gardait ses cuisses solidement serrées, lui dévoilant son entrecuisse qui se fermait généralement dans une ombre obscure. Mais rarement, et ceci n’est arrivé que cinq ou six fois durant ses trois années de collège, la fente était ...
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