La pute et le troglodyte
Datte: 08/11/2017,
Catégories:
fh,
hagé,
prost,
voiture,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
humour,
... assez large pour lui laisser un rayon jusqu’à la petite culotte, bleue, blanche ou rouge. Ces images lui reviennent à l’instant, intactes, comme s’il les avait vécues hier ou tout à l’heure. Ginette ne se doute pas de ce qui lui arrive et continue sa succion avec application, essayant de lui donner le meilleur d’elle-même. Ali lui fait un effet bizarre, elle se sent motivée de bien faire, ce qui ne lui arrive pas souvent, pour ne pas dire jamais. La queue est moyenne par rapport à ce que peut prendre sa bouche, et elle la sent déjà se perdre dans son con. Une idée lui passe par la tête. Elle va lui permettre de la sodomiser, ce qu’elle n’accepte que rarement et avec un fort supplément. Elle pense qu’ainsi elle pourra mieux le satisfaire. Elle a peur de le décevoir ! Ali divague encore plus dans son enfance, envoûté comme il est à goûter à la mémorable fellation de Ginette. Celle-ci voit sa montre et constate qu’il leur reste encore plus d’une demi-heure, elle se décide alors à lui prolonger la dégustation. Comme anesthésié par le plaisir qui l’assaille, Ali fait rapidement le saut entre ses années de collège interrompues par manque de moyens et sa nuit de noces, entre les deux il n’y avait aucune histoire de femmes. Il avait cru sur parole sa mère qui lui disait qu’elle lui avait choisi la plus belle fille de tous les villages de Tataouine. Comme le voulait la coutume, il n’avait jamais parlé de ses préférences, et comme le voulait encore la coutume, il devait patienter ...
... jusqu’au jour de ses noces pour voir celle avec qui il devait partager sa vie, ses joies et ses malheurs. Faut-il dire qu’il a été déçu lorsqu’elle débarrassa son voile, et encore plus lorsqu’elle a montré ses petits seins pointus ? Rien qu’à y penser, il se couvre de remords, car quoi qu’il en soit, c’est avant tout la mère de ses enfants. Il savait qu’elle ne serait pas blonde, mais il voulait de la chair en abondance et il s’était trouvé avec un bâton de balai, «Assa chkobba » comme il se plaisait à l’appeler. Plusieurs fois, avant de faire des enfants, il avait pensé à la répudier, mais ce n’était pas si simple. Il reculait devant les complications familiales que cela allait faire, du fait que son beau-frère était le mari de la fille d’un oncle maternel auquel il devait beaucoup depuis la mort de son père. Eh oui, c’est ça le bled, un réseau de conventions et de solidarités auquel il fallait se soumettre, il lui aurait fallu un grand courage pour rompre son mariage, ce qu’il n’avait pas fait, et finalement il ne le regrettait pas, du moins c’est ce qu’il pense à l’instant même. Ces réflexions le fatiguent, il change de registre. Il revoit la maison creusée au flanc d’un roc argileux où il vivait avec sa mère, ses deux frères, sa sœur, deux de ses oncles et sept cousins avec leurs femmes et leurs enfants. Il a un petit pincement de cœur à se rendre compte que cette maison est aujourd’hui abandonnée, laissée en friches, probablement envahie par les lézards, les scorpions, les ...