La pute et le troglodyte
Datte: 08/11/2017,
Catégories:
fh,
hagé,
prost,
voiture,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
humour,
... jamais. Les premières semaines, il ne cessait de déambuler dans les rues de Paris avec son cousin, celui-là même qui se vantait de ses exploits virils, grimaçant à chaque blonde qui passait, en vain. Il a fini par comprendre, et fidèle comme il était à la tradition, il allait contribuer à perpétuer le mythe chaque fois qu’il revenait au bled. Mais à partir d’aujourd’hui ce ne sera plus des bobards, le voilà se tapant une vraie blonde, et se faisant sucer de surcroît, tous ces amis du village devront le croire, ils l’ont déjà cru lorsqu’il mentait. Il pense déjà à ce qu’il dira de cela, et à comment il le dira. — Attention m’moiselle, ji vé ijaculer, lui dit-il quand il sent une contraction dans les cuisses. C’était déjà trop tard. Elle recueille dans la bouche un jet chaud et abondant. Sans hésiter, elle décide de l’avaler. Elle garde la queue dans sa bouche. Celle-ci tressaille à deux reprises, émettant encore du foutre, puis se calme, flanche, sans toutefois perdre toute sa raideur. Ali se replie sur elle et lui donne un baiser sur la tête. Ils prennent un petit moment pour souffler et s’essuyer. Ali s’ébroue vivement sous le choc du plaisir qu’il vient de subir alors que Ginette lui maintient le sexe dans une main, se demandant s’il va pouvoir assurer une nouvelle décharge. Il la complimente comme il peut sans oser la fixer dans les yeux. Ginette décèle dans son regard fuyant des remous très profonds. Il a fait duharam (interdit) et cela lui comble l’esprit, il pense à un ...
... malheur qui peut s’abattre sur sa famille et n’en démord pas. Mais sa queue reste turgescente dans la main de Ginette qui la secoue doucettement, elle s’étale sur le lit et lui propose de s’introduire. Ali balaye du regard le corps qui lui est offert. Il n’en croit pas encore ses yeux. Il se met entre les deux grandes cuisses fléchies et légèrement écartées. Le pubis gonflé de Ginette est souligné par l’échancrure géante et béante, l’appelant à la visiter. Sans attendre, il entre. La porte est ouverte et les parois sont glissantes, il ne trouve aucun mal à aller au bout, à sentir la chaleur de cette chatte mouillée envelopper toute sa queue tendue. Il entreprend alors un va-et-vient régulier, rythmé, sans concessions. Dans chaque coup il met toute son âme, toute son énergie vitale, toute sa hargne. Pour Ginette l’exercice physique est banal, mais psychiquement elle sent qu’il y a quelque chose de différent, d’étrange, d’incompréhensible ! Il y a eu, quelque part en elle, un déclic, une décharge soudaine qui a fait qu’Ali n’était pas uniquement le millionième client de Ginette, mais quelqu’un d’à-part, de différent, de singulier. Elle cherche à comprendre pourquoi, mais en vain ! Un quart d’heure passe ainsi, peut-être plus, elle ne voit plus sa montre. Toute sa satisfaction est de sentir qu’Ali est satisfait, tout son bonheur est de sentir le sien. Enfin Ali s’écarte, peut-être épuisé. Ginette se redresse légèrement, se retourne sur son ventre puis se met à quatre pattes : — ...