La pute et le troglodyte
Datte: 08/11/2017,
Catégories:
fh,
hagé,
prost,
voiture,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
humour,
... serpents et les vipères. La nostalgie de cette période de sa vie, marquée par l’indigence et la misère, est toujours vivace. Dans la fraîcheur enivrante de l’alcôve du fond qui rutilait sous le crépi de chaux jaunâtre récemment appliqué pour fêter l’occasion, il fit l’amour pour la première fois. Il vit le corps de sa femme, nue, grande et filiforme. Elle s’était étalée devant ses yeux, tremblante et frémissante de peur. Il avait également peur, il devait faire ses preuves ! Dehors, on attendait la serviette maculée, signe de pureté pour elle et de virilité pour lui. Il fallait faire bien et vite. Mais depuis le matin il bandait déjà comme un âne, et le trac n’a fait que renforcer la rigidité de son sexe. De sa femme, il ne voyait plus que le sexe épilé et miroitant sous les réverbérations de la lampe à huile qui éclairait la chambre. De ses deux mains il lui écarta les jambes, se mit entre ses cuisses et s’introduit d’un coup sec et pur. Il sentit la membrane craqueler et son membre occuper les lieux. Elle n’émit aucun son, elle ne fit aucun geste, elle pleurait silencieusement. Il sortit et observa les gouttes de sang dégouliner. Il ouvrit légèrement la porte et jeta la serviette, et aussitôt ronronnèrent en valse continue les cris de joie de sa mère et sa belle mère, puis ceux de ses tantes et d’autres femmes, sons stridents et discontinus qui durèrent un bon moment. Mais il était déjà revenu à sa quête pour terminer son travail et exploser pour la première fois dans le ...
... ventre d’une femme. Enfin il s’abandonna sur elle et lui fit un premier baiser. Il se souvient que cette nuit-là, et celles qui allaient suivre, il s’était repu bien au-delà de ses déceptions, la flamme de sexe qui l’avait emporté ne lui laissait aucun répit. « Et viens que je te nique », disait-il à sa femme, plusieurs fois par jour. Elle rougissait mais s’exécutait sans souffler un mot. C’est après que les choses se sont compliquées, jusqu’à ce qu’il se retrouve en France dans un troupeau de migration vers le Nord. Ginette a redoublé d’intensité, à la succion douce presque mélodique, elle alterne une masturbation énergique. Appuyant de deux doigts solides sur la hampe et coulissant la fine membrane le long de la pine, elle garde le gland dans sa bouche et le martèle de petits coups de langue. Il revit les premiers instants de son débarquement à Marseille avec le balbutiement du cœur d’un enfant. Le ciel moutonneux, le tonnerre et la pluie qui suivit. Le froid glacial contre lequel il n’était pas bien armé. La tronche austère du policier lui tamponnant le passeport sans même le voir. Les choses ont changé depuis. Ses premiers pas dans la ville. Tout le long du voyage, il rêvait de niquer des blondes, un de ses cousins déjà émigré ne lui disait-il pas que la queue de ses semblables était bien cotée de l’autre côté de la méditerranée où les hommes sont fades et les queues froides, et que la file des femmes qui demandaient des queues étincelantes et chaudes ne désemplissait ...