Un amour d'été
Datte: 11/06/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
inconnu,
oncletante,
fépilée,
vacances,
plage,
ascenseur,
douche,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
pied,
chaussures,
rasage,
pénétratio,
mélo,
... l’aube. Cependant, ce dernier lui adressait un charmant sourire, ce qui la consola un peu. La voiture démarra au premier tour de clé, Paul embraya avec douceur, mais la voiture s’immobilisa instantanément, moteur calé. Il insista sur le démarreur, souleva le capot pour tenter d’identifier une cause de panne, le referma en bougonnant, tenta à nouveau de lancer le moteur et finit par épuiser la batterie. La tuile. De plus un voyant rouge illuminait la planche de bord, doublé d’un message sans équivoque : « Engine down ». Les filles commençaient à s’agiter et Paul appela l’assistance technique. Seule Taty Danielle semblait sereine. — Galère, galère, répétait Virginie en se rongeant un ongle. Je dois impérativement être à la fac demain. Et comme les deux copines étaient de la même promotion, le même sentiment d’inquiétude habitait aussi Geneviève. — Ils ne peuvent venir que d’ici une heure, et de toute façon, ils emportent la voiture au garage, fit Paul en refermant le clapet de son téléphone cellulaire. Ils en ont au moins pour la matinée.— Je ne vois qu’une chose les filles : le train. Prenez ma voiture et tâchez d’attraper le prochain TGV, il y en a un toutes les deux heures. Avec un peu de chance ils ne seront pas complets. Les bagages furent rapidement transbordés d’une voiture dans l’autre et Paul prit le volant de la petite auto. — À tout de suite.— Au revoir, Taty, complétèrent les filles.— Au revoir, mes chéries. Le cœur de Paul battit la chamade lorsqu’il pénétra dans ...
... le hall de l’immeuble. Il repensait à la veille en pénétrant dans l’ascenseur : « Au revoir Geneviève, bonjour Danielle ». Libéré de son cortège féminin, doté d’un sérieux alibi pour justifier une journée de retard, il poussa la porte de l’appartement. — Entre, je suis à la cuisine, lui renvoya l’écho du couloir. Alors, elles sont bien parties cette fois-ci ? Il déposa les clés de la voiture sur le guéridon et avança à pas feutrés. — Tu es là ? Paul ? Elle n’avait même pas relevé le nez de la casserole dans laquelle elle préparait un fond de sauce. Sentant sa présence, elle lui adressa un sourire radieux. Paul cru défaillir : taty Danielle était vêtue… d’un simple tablier de cuisine et de ses sandales à brides rouges. Elle se tourna vers lui et l’interpella ironiquement : — Tu la trouves comment, ma tenue d’intérieur ? Tu vois, quand je suis seule je vis à poil. L’évocation de la pilosité de son hôtesse ne fit que renforcer la raideur qui déformait son pantalon de toile. — Mets-toi à l’aise aussi, si tu veux. C’est juste une question de premier pas, tu sais, glissa-t-elle en le frôlant pour attraper un condiment dans un des placards. Tiens, attrape-moi la muscade, là haut, non, à côté du pot brun, fit-elle en montrant l’emplacement. Paul se glissa habilement sous le bras tendu qui retomba délicieusement sur son épaule. Ils se faisaient face, elle, offerte dans sa quasi nudité, et lui, admiratif, intimidé, mais gourmand de ce fruit mûr. Ils se dévisagèrent un long moment, se ...