Douce France
Datte: 11/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jalousie,
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
attache,
fouetfesse,
confession,
couple,
... les yeux exorbités. Ça l’affolait et, comme sidérée par mon audace, elle a gueulé : « Fucker ! » Ça peut se traduire par « connard » ou « salaud », au choix. Ça résonne encore à mes oreilles. Aussitôt, j’ai réduit la cadence, m’arrêtant presque, me disant que j’étais allé trop loin, que je lui faisais mal… mais non ! Elle s’est remise à m’engueuler : « No ! Don’t stop ! Fuck it ! » Une vraie furie. Des séances comme celle-là, il y en eut quelques-unes. Quand elle se mettait dans cet état, je me rendais compte que j’avais du mal à tenir la route. Il lui fallait beaucoup plus que ce que j’étais en mesure de fournir et elle cherchait de moins en moins à le cacher. Ses encouragements explicites, les « Come on ! Fuck it ! » rageurs qu’elle me lançait, les ordres qu’elle donnait, les gros mots qu’elle disait ou les insultes qui lui échappaient de temps en temps étaient pour moi autant de signes qui tendaient à confirmer que si je voulais vraiment la faire décoller, je devais y mettre une énergie considérable. Parfois, je me disais que ça tenait plus du combat que d’autre chose, qu’effectivement, elle devait avoir raison : le sexe pouvait être très différent de l’amour. C’était des baises féroces, surprenantes, durant lesquelles je voyais surgir une autre Karen, presque sauvage et beaucoup plus crue. De mon côté, galvanisé par la tournure des événements, je me laissais porter par ce tourbillon sexuel qui s’emparait parfois de nous et j’essayais de la surprendre. Pour lui faire ...
... plaisir, je me livrais moi aussi à quelques facéties obscènes. À l’improviste, il m’arrivait de sortir mon sexe de mon pantalon et de me balader comme ça dans le salon, ostensiblement, avec tout le paquet à l’air, alors qu’elle était occupée à lire sur le canapé ou scotchée devant son ordi. Quand elle levait les yeux, le regard faussement perplexe qu’elle me lançait redescendait aussitôt sur mon sexe. Cette feinte incrédulité vite balayée, c’était de la convoitise que je pouvais alors lire dans ses yeux, et ce changement d’expression sur son visage, cette métamorphose subite, ça m’excitait énormément. Elle me traitait de pervers, depig, mais c’était alors la vraie Karen, la Karen intime qui se révélait en ces instants-là, j’en suis persuadé. Celle qui ne faisait plus semblant de rien, qui ne cherchait plus à cacher quoi que ce soit. D’un geste impatient, elle m’ordonnait de m’approcher, comme pour dire « Allez, amène-moi ça. » J’avais alors droit à une pipe royale. Admiratif, je la regardais faire. Elle se frottait ma queue sous le nez, sur les lèvres, en sortant la langue pour que ça mouille bien partout. Elle n’avait aucune difficulté à me gober tout entier en faisant des bruits malpropres et, en général, en accompagnant le processus d’une main experte qui me branlait rapidement, il lui fallait moins de cinq minutes pour me faire jouir et tout manger goulûment. Quand je repense à sa façon de manier une bite… Une fois son forfait accompli elle se levait, et c’est avec un ...